Par Jean de Maistre.
Il va y avoir des rassemblements, des bougies, des bouquets de fleurs mais rien ne sera fait contre l’islamisme parce que pour cela, il faudrait poser la question de l’islam, ce système politico-théologique totalitaire, ce communisme sans dieu, pour reprendre la belle expression de Pascal Bruckner, incompatible avec notre civilisation, nos mœurs et nos valeurs.
L’islamisme découle naturellement de l’islam, de l’incapacité de ce dernier de supporter la cohabitation avec les « mécréants » d’admettre l’existence de l’autre comme le disait Lévi-Strauss.
Parler de tolérance musulmane, c’est un peu comme parler de stalinisme libertaire ou de nazisme respectueux des droits de l’homme. Un musulman « modéré » c’est un islamiste au repos, un islamiste c’est un musulman en action.
Rien ne sera fait parce que les musulmans ont parfaitement compris comment fonctionnait la doxa en Occident. Dès qu’on les critique, ils hurlent au racisme, selon une stratégie bien rodée, reprise aussi par les gauchistes, ce qui intimide immédiatement le critiqueur. Un leader islamiste l’a avoué sans fard : » Avec vos valeurs, nous vous vaincrons, avec nos valeurs, nous vous soumettrons ».
Rien ne sera fait parce qu’il s’agit aujourd’hui pour la classe politique de ne pas déplaire à un électorat de plus en plus nombreux, créé par l’immigration de peuplement. La plupart des partis politiques, au premier chef l’extrême-gauche, racolent les voix musulmanes selon une logique communautariste, le sinistre Mélenchon allant même jusqu’à apporter son soutien à une manifestation organisée par le très islamiste collectif contre l’islamophobie en France.
Le député LFI Alexis Corbière fulminait à l’Assemblée nationale contre la loi sur le séparatisme islamique. La plupart des partis politiquement sont furieusement immigrationnistes, à l’instar de l’oligarchie libérale, ce qui ne manquera d’accroître dans des proportions de plus en plus inquiétantes le poids de l’électorat musulman, auquel il faudra donner de plus en plus de gages.
Certes la police traquera ceux qu’on appelle pudiquement les radicalisés, alors qu’il s’agit tout simplement d’activistes de l’islam, certes elle démantèlera des cellules, mais rien sur le fond ne sera fait parce qu’il ne s’agit pas d’un problème de police, mais de volonté politique. Et cette volonté politique manque lorsqu’il s’agit de protéger notre peuple et notre vieille nation, dont l’existence est devenue insupportable aux yeux de l’oligarchie libérale et du gauchisme cosmopolite et diversitaire qui se partagent le travail pour détruire notre pays.
La France s’islamise à grands pas, avec des quartiers de plus en plus nombreux aux mains des imams et des dealers issus de l’immigration maghrébine et africaine.
C’est l’écrivain algérien Boualem Sansal sur la tête duquel bien entendu des fatwas ont été lancées, qui nous alertait en disant qu’en France on voyait se multiplier les petites républiques islamiques. C’est là le vivier du terrorisme qui n’est que la partie émergée d’un phénomène plus profond.
Le juge qui a décidé de refuser l’expulsion de ce tueur musulman tchétchène a du sang sur les mains. Nous accueillons, nourrissons, logeons ceux qui veulent notre mort. ■
Transmission du 18.10
THIBAULT DE MONTBRIAL : « VOUS AVEZ AUTOUR DES ISLAMISTES TOUTE UNE PARTIE DE LA GAUCHE FRANÇAISE »
Avocat, président du Centre de réflexion sur la sécurité intérieure (CRSI) et spécialiste de la sécurité intérieure, Thibault de Montbrial est l’auteur de Osons l’autorité aux éditions de L’Observatoire, un essai dans lequel il démontre implacablement que notre sécurité intérieure ne cesse de reculer.
Les fleurs, les « marches blanches », et les rodomontades politiques n’ont jamais fait reculer Daesh et ses épigones. Les expulsions de « clandestins » fichés S ou pas, attendons de voir, les fermetures de mosquées, les soumission d’ouverture de mosquées non pas au permis municipaux mais à une autorité nationale responsable, l’interdiction des prêches en arabe ou en turc sur le sol français, le contrôle du financement des mosquées mais aussi des « associations cultuelles » voire culturelles, tout cela représenterait un pas dans le bonne direction. Depuis Pasqua « Il faut terroriser les terroristes » les mots ont remplacé les actes ( en fait cette dérive date de l’ère Mitterrand) Attendons donc de voir les actes!
Faudrait-il confier le jugement des terroristes et de leurs complices à des tribunaux militaires puisque nous sommes en guerre, pas seulement contre un virus qui n’augmente pas le nombre total moyen de décès depuis cinq mois
Le pouvoir actuel s’est rendu compte , je pense, que l’absence de réponse adaptée représentait un péril mortel pour sa réélection; l’intérêt français étant pas sa priorité.
Rêvons un peu, peut-être va -t-il remplacer les incantations à le Républiques à la laïcité et aux « valeurs républicaines, qu’on se dispense ainsi de définir, au rappel de la valeur France, mère des armes, des arts et des lois, éducatrice des peuples, comme l’a rappelé Saint Jean-Paul II.
J’ai connu un temps où on nommait « Anti-France » tous ceux qui voulait détruire notre pays et soutenaient ses ennemis; ils sont toujours là.
Le consternant Castex nous déclare que » le scandaleux mode opératoire du crime est contraire aux valeurs de la république » !
C’est oublier un peu vite que la république s’est construite sur la décapitation à l’échelle industrielle…
3 jours avant le meurtre de ce pauvre homme, le 16 Octobre, on commémorait la mort de Marie-Antoinette, coupable d’être reine de France.
Excellente remarque de S. Alman : la République et la décapitation ont une longue histoire commune…