(sur Maurras.net, par Nicolas le 6 mars 2011, extrait)
« ….Quoi d’autre dans cette Politique (du 23 novembre 1926, qui est reproduit ici, ndlr) ? …surtout un développement sur la politique d’alliance des partis républicains, où Maurras nous réexplique que la droite modérée n’a aucune chance de succès réel dans le jeu des institutions républicaines qui sont faites pour mener au désastre. Au mieux, elle a le choix entre les Mauvais — en l’occurrence les radicaux — et les Pires — les socialistes.
Manière de rappeler en prenant exemple de l’actualité et du malheureux Jacques Bardoux la mise en garde qui concluait le chapitre vingtième de Kiel et Tanger :
Une fois de plus se vérifiait la loi du développement historique de ce régime où les meilleurs ne servent qu’à fournir aux pires des prétextes plus respectables, des moyens d’action plus puissants. Les bonnes intentions de la République conservatrice avaient fourni des armes contre la France aux républicains radicaux. Pendant les trois ou quatre dernières années de son sultanat, beaucoup d’écrivains patriotes réclamèrent la tête de M. Delcassé : que ne réclamaient-ils la destruction de la République ? Cela seul importait.
Libre au lecteur d’imaginer si ces leçons des premières décennies du vingtième siècle ne sont pas encore de quelque utilité aux premières du vingt-et-unième ! »
En effet…
corcelles sur Quand, il y a 155 ans,…
“Je comprends mal la fureur de Barbey car si Flaubert – qui se prenait pour Mme…”