le prix citron: à Marie-Georges Buffet: le 21 octobre, elle a déclaré à Chateaubriant (à propos de Guy Môcquet): « Aujourd’hui il y a besoin de résistance encore…résistance face à une politique qui casse les droits sociaux, résistance face à une politique qui chasse les enfants parce que leurs papas et leurs mamans sont venus d’autres pays, résistance par rapport à une politique qui veut encore renforcer les pouvoirs d’un seul homme à la tête de l’État ». Et si on résistait plutôt au(x) mensonge(s) de l’histoire officielle?: en rappelant -pour la milième fois!…- à Marie-Georges que Guy Môcquet n’a pas été arrêté ni fusillé parce que « résistant » mais parce qu’il bravait l’interdiction du Parti Communiste, dissous et interdit car il refusait de prendre position contre l’Allemagne hitlérienne, au nom du Pacte Germano-Soviétique! et que le premier résistant fusillé fut le catholique et royaliste Honoré d’Estienne d’Orves, le 29 août 1941…..
le prix orange: à J.H.H. Weiler. Ce fils de rabbin, juif pratiquant, professeur d’université aux États-Unis, se fait le défenseur de la mention des origines chrétiennes de l’Europe dans le préambule de la Constitution. Pour lui, parler d’Europe et de Constitution Européenne « sans considérer l’importance centrale du christianisme pour cette civilisation même » est absurde car l’Europe se retrouve, ce faisant, « dans la dénégation; elle refuse de reconnaître une part de son identité ». Or, si « dans la discussion sur sa propre identité, elle met à l’écart les termes « chrétiens » ou « christianisme » devenus de véritables tabous », comment pourra-t-elle respecter « tous ses citoyens de la même façon: croyants et non-croyants, chrétiens et non-chrétiens », puisqu’elle commence par nier, précisément. la réalité de l’héritage dû à la communauté chrétienne? Il faut donc que l’Europe « légale » renonce à sa christophobie…..(« L’Europe chrétienne? Une excursion. », J.H.H. Weiler, Cerf, 164 pages, 25 euros.).
Noël Stassinet sur On attend une vigoureuse réaction du…
“Alors les grands penseurs de la gôôôche on se réveille ? On a une panne de…”