SOS Racisme a demandé au PDG de France Télévisions Rémy Pflimlin quelle sanction il comptait prendre contre Éric Zemmour.
« Je ne conçois pas qu’une telle condamnation ne porte pas une atteinte grave à l’image du groupe que vous présidez… C’est pourquoi je vous demande quelles sanction (suspension provisoire de l’antenne…) vous compter prendre suite à (cette) condamnation », écrit Dominique Sopo dans sa lettre.
A quand le bûcher ? Avec – accessoirement, pourquoi pas ?… – comme préalable, le rétablissement de la peine de mort (mais sélective, réservée uniquement à des gens comme Zemmour, aujourd’hui, comme elle le fut, en son temps à Louis XVI…) ?
Qui a dit que l’époque des grands Inquisiteurs c’était fini ? Ils existent encore, la seule nouveauté étant que, maintenant, ils sont grassement rémunérés par les subventions, donc par… notre argent !
Le monde idéal, tel que le rêvent certains….
La possibilité donnée à certains groupes (SOS racisme, courroie de transmission du PS), d’avoir une loi de plus que la majorité des français et donc de se porter partie civile, permet à des minorités de s’imposer à la majorité. Ceux qui avaient commencé par réclamer leurs droits veulent, les ayant obtenus, être le droit à eux tout seuls. Le droit positif se mue alors en droit subjectif, en s’ordonnant aux prétentions des groupes d’intérêts et de pression.
La conformité à la loi n’est plus une règle également imposée à tous, mais le moyen d’éliminer la résistance opposée par certains au terrorisme intellectuel.
Aux arguments, on répond par des injures, des anathèmes, des excommunications solennelles. D’ailleurs, réfuter impliquerait de débattre.
Or, débattre ce serait déjà « être complice « . On se borne donc à anathémiser certaines idées au motif qu’elles sont mauvaises – et la preuve qu’elles sont mauvaises, c’est qu’on les anathémise.
Quand on en est là, on a évidemment quitté toute civilisation.