Par Olivier Perceval.
Peut-on blasphémer à propos de la République ?
Immigration massive et sans contrôle depuis plus de quarante ans, ouverture des frontières à tous les vents sous prétexte d’Union Européenne, favorisant l’entrée en France de tous les virus, qu’ils soient COVID ou Islamiste, idéologie de l’antiracisme poussée à l’extrême pour donner naissance à un racisme anti-occidental et anti-français.
Ah qu’elle est belle l’Europe, antichambre de la mondialisation heureuse chère à nos élites qui ont mis en place le président Macron. (Le mot « élite » est lâché, je peux donc être rangé dans la case infamante des populistes.)
Mais heureusement, face à la barbarie qui tue nous avons des réponse fermes : Bougies, marches blanches, ils n’auront pas ma haine ! Ils ne passeront pas !
Ce qui est pour le moins caricatural dans la nouvelle Geste de l’État laïque, c’est la guerre autour d’un torchon hebdomadaire, dont la rédaction certes fut ignominieusement décimée par les fous d’Allah, mais qui n’en demeure pas moins un torchon, de même que les victimes ne sont pas nécessairement héroïques parce que victimes.
Ce qui est caricatural, c’est que face aux ennemis de la France et des Français, notre drapeau, de tricolore qu’il fut, s’est transmuté en caricatures de Mahomet.
Et voici que la réponse nationale aux actes sanguinaires, est de publier dans les manuels scolaires de nos enfants, les couilles du prophète pour expliquer la liberté d’expression.
Et après, on va nous expliquer qu’il ne faut pas faire d’amalgame. Qu’il n’y a aucun lien entre les musulmans immigrés et l’Islamisme (radical).
Sauf que Mahomet est le prophète de tous les musulmans, qu’ils soient radicalisés ou non.
On vat donc scandaliser toute la masse de ceux qui ne demandent qu’à prier tranquillement et faire leurs ablutions, pour défier ceux qui tentent de nous imposer la Charia et qui insultent chaque jour notre patrie.
Cela dit pour stimuler et renforcer l’islamisme, si c’est le but recherché, c’est une bonne stratégie pour unifier les musulmans.
Pour ma part, face au laïcisme hystérique, je donne raison au président de l’IFCM, qui considère que pédagogiquement, une telle décision puérile et aveuglée par l’idéologie, de l’État ne s’impose pas et pourrait être même contre-productive.
Ainsi donc, chacun son sacré : Les musulmans, comme les catholiques du reste se considèrent comme des créatures de Dieu (chacun le sien). Les républicains quant à eux, incréés, sacralisent la laïcité, (concept chrétien à l’origine, ce qui lui conférait des limites) comme l’Alpha et l’Oméga de toute organisation humaine, et si ce n’est pas un dieu, ça s’en rapproche singulièrement.
Il n’est certes pas ici question de faire de la théologie et de déterminer en les comparant, quelles sont les notions du sacré qui l’emportent en qualité.
En revanche, la France, terre d’asile, tient ce principe de l’ancienne monarchie très chrétienne. Sauf que ce principe s’appliquait au monde chrétien et non à ceux que l’on combattait dans le cadre des croisades pour défendre la Jérusalem très chrétienne.
Aujourd’hui, en s’attaquant à une Église niçoise, en tuant selon le rituel du sacrifice musulman des paroissiens et paroissiennes, le mahométan inculte a cru s’en prendre à un symbole de la France, alors que notre Église en ruine agonise sous les coups de boutoirs des républicains les plus convaincus constitués notamment par une bonne partie de son clergé sécularisé.
Du reste, un certain nombre de musulmans sont horrifiés par le principe du crime commis dans une Église, crime qu’ils trouvent intuitivement blasphématoire.
Le droit au blasphème, qui semble être la revendication sacrée du moment, pourrait signifier qu’au nom de la liberté d’expression, toutes es idées, toutes les interprétations de l’organisation humaine et sociétale, dès lors qu’elles s’expriment en toute liberté, offensent peu ou prou ceux qui sont passionnément d’un avis contraire. Et ça, pourrait s’inscrire dans le concept de liberté revendiqué par la France comme faisant partie de son ADN.
Mais elle peut être aussi la mise en cause des croyances d’une partie de la population par la mise en situation ordurière de ce qu’elle vénère le plus. Les catholiques qui vivent cela depuis deux siècles, après s’être insurgés dans un premier temps, ont le plus souvent fait le dos rond et ont prié pour les mécréants. Les musulmans, dans leur grande majorité, récemment arrivés sur notre sol et aujourd’hui installés en masse, supportent en grinçant, menacent parfois et finalement certains passent à l’acte sanglant comme en témoigne le carnage de Charlie Hebdo.
Les défenseurs du droit d’expression ne voient pas qu’ils s’insurgent contre des effets dont ils sont responsables des causes , en laissant s’installer, au nom de la laïcité les tenants d’une religion contraire à celle qui est constitutive de notre culture nationale, en refusant de mettre en place un travail d’intégration et d’assimilation sous prétexte du respect de leur culture, et agissant comme si les outrances LGBT, et les blasphèmes seraient sans effets sur cette population qui tient la plus-part de nos banlieues.
L’entrée en piste de l’in-sultant Erdoghan s’affichant comme notre ennemi, réveille en outre, chez nous, les immigrés d’origine turque qui se donnent comme mission sur notre sol de chasser les Arméniens, toute honte bue, comme au bon vieux temps du génocide.
Nous attendons des fidèles de l’Église Laïciste et blasphématoire qu’ils profitent de l’occasion pour expulser les étrangers prenant notre pays pour un champ de bataille. Ce serait un signe très clair envoyé au grand turc.
Et puisque le blasphème semble être la nouvelle religion officielle, qu’on me permette de déclarer que la République si révérée par ceux qui n’ont de cesse que de salir notre Histoire millénaire, est une vieille truie assise sur une France qu’elle a transformée en bauge insane et qu’il serait temps de la conduire à l’équarrissage. ■
Drôle d’idée de pratiquer l’abominable écriture inclusive dans le titre de ce bon article.
La défense de la France passe largement par la défense de la langue française.
Cet article est en effet excellent, et quelle idée de parler d’écriture inclusive! C’est faire un mauvais procès à son auteur. L’écriture inclusive aurait donné ceci: Français.e.s. C’est différent. CQFD!
Vous avez raison, mais je n’ai pas tort ; d’ailleurs, sur un autre site, Olivier Perceval, à qui les mêmes remarques ont été faites, bat sa coulpe, invoquant la précipitation.
On lui en donne acte bien volontiers !
Au fond, Escaich a raison. Rompons là sur l’écriture inclusive.
L’article est bon. Surtout couillu. C’est utile.