Il ne veut pas être « un éternel candidat »; il veut mettre en garde son parti contre « les risques politiques de la personnalisation à outrance » et bla, bla, bla…
Ca, c’est pour la galerie.
La vérité, beaucoup plus simple, c’est que si Besancenot se retire de l’élection présidentielle avant même d’y être entré, c’est qu’il s’est planté : avec son « coup » de la candidate voilée, qui s’est quasi illico retourné contre lui; avec sa statégie (?) d’isolement à la Laguiller; avec son autre stratégie de soutien constant aux immigrés, qui a fait de lui – volens nolens – un fournisseur de chair à profit pour le grand capital (lui et son « pot » Ken Loach); etc… etc… ; et que sa notoriété est partie aussi vite qu’elle était arrivée (le canapé rouge de Drucker, à cet égard, ce fut en l’occurrence le baiser de la mort d’un Système et d’un monde qui, aujourd’hui, épuise vite et jette aussitôt (une autre forme du court-termisme, en quelque sorte…).
Un adversaire de moins ? Même pas ! Besancenot s’en va, mais la malfaisance du Système demeure, à « gauche » comme à « droite » : c’est elle qu’il faut combattre, et pas seulement les hommes, qui en sont si souvent les jouets – Besancenot, dans le cas qui nous occupe ici; bien plus que les personnes, manipulées par lui, c’est le Système qui est, qui reste l’ennemi.
C’est notre originalité que de le dire, aujourd’hui comme hier, et c’est ce qui rend notre critique toujours actuelle et toujours indispensable….
PS : NPA = N’habite plus à l’adresse ?…….
Pauvre petit facteur, à la bone bouille, qui voulait rejoindre les grands de Neuilly (où il distribue le courrier), sans en avoir la carrure. Les temps ont changé et personne ne veut une révolution dans une France qui a tout, mais pas les bons dirigeants pour qu’il y ait une juste re-distribution des bénéfices réalisés par les GRANDS de ce monde. La FINANCE restera reine, tant que le système bancaire ne sera pas assaini. Quelques rares banques comme le CREDIT MUTUEL joue le jeu très honnêtement. Mais quand on prend connaissance des milliards d’euros et de dollars que possède un despote nommé Khadafi, il reste peu d’espoirs pour espérer la paix et le bon sens, compte tenu de ce qu’il en fait. Dieu merci, il n’est pas immortel et son tour viendra. Alors patience !
Même Khadafi est petit joueur, les marcchés fiinanciers sont les vrais criminels (Soros,et compagnie) avec30 000 milliards de dollars qui transitent chaque jour. alors les etatspeuvent faire ce qu’ils veulent, ils faut s’en prendre effectivement au système bancaire en rétablissant les banques de dépôts et celle d’affaires avec les interdictions de séculer pour les premières; EN REVENIR A 73 période qui fut le début e la fin pour la capacité des Etats à se servir de leurs mnnaies comme arme poolitique
Il faut effectivement que l’Etat rétablisse sa souveraineté et
reprenne son pouvoir de battre monnaie, plutôt que de
s’obliger à emprunter sur les marchés qui le contrôle, depuis
la loi scélérate n°73-7 du 3 janvier 1973.
L’abolition de cette loi devrait être une priorité absolue.
Les Français de mieux en mieux informés sur ces dispositifs
devraient revendiquer à ce sujet et nous, les y encourager.
Il avait l’avantage de nous faire rêver à un « 21 avril »…à l’endroit!