« Laissées » de Macron sur le livre d’or de la Boisserie … « les traces qui nous permettrons…»
Aussi, faisant écho à la page récente d’Isidore dans Boulevard Voltaire, on remarque dans les traces laissées par le Chef de l’Etat à la Boisserie, tous les « en »; le dernier en particulier : en fidélité.
Il est vrai qu’il est en capacité, en charge, en lien, en responsabilité, peut-être même en bicyclette… ce qui l’empêche d’écrire en bon français.
[« Pèlerinage » à Colombey-les-Deux-Eglises les 9 novembre pour commémorer la mort du général de Gaulle]
Ecrire en bon français ? Lire plus loin dans JSF la page d’Isidore évoquée plus loin que nous reprenons de Boulevard Voltaire. Ce sera utile à tous ceux qui écrivent et agréable à tous ceux qui aiment la langue française. Et même ou surtout à tous ceux qui prétendent à juste titre la défendre (il le faut !) mais qui l’écorchent et même l’offensent plus souvent qu’à leur tour !
Merci à Marc VERGIER
Publié dans JSF à 6h
Sa nullité en orthographe de base démontre ce qu’il est : un paradeur sans repères qui dénie une Histoire à notre pays qu’il abandonne à la conquête barbaresque…ouste !
Pardon de vous corriger:
On ne dit pas « EN bicyclette » mais À bicyclette…. et EN vélo (cipède)! En toute amitié, évidemment.
Vous devriez relire la phrase où se trouve l’expression que vous critiquez : : « en bicyclette » est manifestement ironique… Comme le sont les expressions précédentes dont l’auteur se moque aussi…
Une deuxième remarque, moins amicale puisqu’elle s’adresse au squatter de l’Elysée: on n’écrit pas général de Gaulle, mais général De Gaulle : ce n’est pas une particule mais un article qui signifie « Le ».
De Gaulle n’aimait pas qu’on le rappelle…
Sur ce 2è point – de détail – je crains que vous ne vous trompiez aussi. En effet, l’explication du De Gaulle avec D majuscule plutôt que de Gaulle avec d minuscule, tiendrait à l’origine flamande de ce patronyme. Or, cette explication ne tient guère la route car, si la mère du général, née Maillot, était bien du Nord, les de Gaulle étaient originaires de Bourgogne. Et la correspondance familiale atteste que l’usage de plusieurs siècles était d’écrire de Gaulle. Quant à moi, j’écris De Gaulle ce qui évite la vilaine juxtaposition de deux « de » en cas de génitif. Comme le dit Robert Mesnard : « Vive la liberté d’esprit ». Que diable !
J’emprunte ce qui suit à Wikipedia…:
Le patronyme De Gaulle serait, d’après Albert Dauzat, un nom d’origine flamande calqué du néerlandais van de Walle, où De Walle signifie « Le Rempart » (nom d’origine : maison située près du rempart), dans lequel de = le et walle = mur, le w germanique ayant muté en g1. Selon cette étymologie, le De ne serait pas une préposition, une particule précédant un nom de terre, mais l’article Le (en néerlandais), qui de ce fait prendrait une majuscule en Belgique. Il existe néanmoins d’autres étymologies possibles. En suivant l’hypothèse d’Albert Dauzat, l’éventuelle origine flamande de la famille de Gaulle remonterait à une époque très ancienne, peut-être dès le Moyen Âge.
On suit habituellement pour écrire de Gaulle la convention selon laquelle les particules prennent une minuscule2. Suivant cet usage, et conformément aux conventions de la langue française relatives à l’usage de la particule, le mot « Gaulle » étant monosyllabique, le « de » se conserve même quand le nom n’est pas précédé du prénom ou d’un titre de civilité3.
Histoire[modifier | modifier le code]
La famille de Gaulle, originaire de Châlons-en-Champagne, puis établie à Paris, s’est illustrée à partir de la seconde moitié du xxe siècle où elle a donné des personnalités notoires.
À Châlons-en-Champagne[modifier | modifier le code]
La filiation suivie de la famille de Gaulle commence avec un certain Jehan Degaulle, dit « le Jeune » (11/01/1615 à Châlons-en-Champagne – 26/07/1672 à Châlons-en-Champagne), portefaix, facteur de grain, puis marchand à Châlons-en-Champagne, qu’on s’accorde à considérer aujourd’hui comme le fils probable d’un laboureur de Châlons-en-Champagne, Nicolas (17/02/1578 à Vauvillers – vers 1609), issu d’une lignée de vignerons, laboureurs et marchands, ayant pour premier auteur connu un Thébault (1475 – ?), et dont le nom fut orthographié indifféremment de Gaulle ou Degaulle4.
Les descendants de Jehan Degaulle le Jeune s’enrichirent par le commerce, devenant de petits notables champenois :