Guillaume Bigot pose les questions essentielles. Sur le plan des Principes, de l’Histoire, des politiques menées aujourd’hui. Ses analyses sont fines, complètes, pertinentes, détonantes, sans concession à la doxa dominante.
Toute aristocratie connaît trois âges successifs, comme l’avait vu Chateaubriand : »l’âge des supériorités, l’âge des privilèges et l’âges des vanités ; sortie du premier, elle dégénère dans le second et s’éteint dans le troisième ».
Dans son dernier ouvrage « Populophobie – Pourquoi il faut remplacer la classe dirigeante française », Guillaume Bigot, politologue et chroniqueur sur CNews, compare la France d’aujourd’hui à celle de 1789. Le roi s’appuie sur une noblesse de robe (la haute fonction publique) et d’épée (les capitalistes).
Un néoclergé médiatique et culturel prie pour la construction européenne, les migrants et la sauvegarde du climat. Formant l’immense base de cette échelle matérielle et symbolique, un tiers-état salarié pâtit de la mondialisation…
A quand la Révolution du peuple ?
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Publié sur TV Libertés le 1er décembre, le 10 sur JSF à 6h100
Excellentissime, à diffuser le plus possible. Son analyse bien dosé de l’ancien régime à la république, nous conduit au changement dans un proche avenir.
Déjà entendu avec M. « Berkof » (excusez l’orthographe) à Sud radio.
En résumé vingt pour cent de nantis ( noblesse d’épée et noblesse de robe) écrasent la France et le reste de sa population depuis quelques années. Une nouvelle élection présidentielle ne sera qu’une suite désastreuse au système actuel. Il nous plonge dans l’histoire de France, celle de nos ancêtres , celle qui nous concerne et souligne l’usure du pouvoir.
Retour au roi, à la monarchie, mais laquelle, parlementaire puisque c’est la définition de notre actuelle république. Un président ou un roi ou est la différence pour un « gilet jaune ». Par contre il doit savoir ce qu’il va y gagner.
Et donc:
Il convient dores et déjà que le prince puisse s’exprimer sur une possible adaptation qui porterait le peuple de la France profonde à la reprise en main de sa vie commune indépendante de ce monde libéral mondialisé, pour redonner à la France sa puissance intellectuelle, dans un royaume qui favoriserait les quatre vint pour cent de gens qui ne demandent qu’à vivre encore la suite logique de l’histoire de France qui nous vient de Clovis après les Celtes nos ancêtres.