1. « …Des États-Unis qui ne savent pas comment combler leur déficit, à la dictature chinoise, assise sur son tas d’or tout en réprimant les révoltes ouvrières, en passant par l’Europe où les « modèles d’hier » sont devenus les boulets d’aujourd’hui, la planète économique va mal. Étrangement, ce sont globalement les mêmes théoriciens, puis praticiens des potions qui nous empoisonnent, qui aujourd’hui nous concoctent les recettes qui devraient nous sauver. Cela pourrait avoir une certaine logique : qui mieux que le docteur Frankenstein peut arrêter la créature qu’il a fabriquée ?…..
2. ….Le souci, c’est que la crise économique et financière que nous vivons est la conséquence quasi méanique d’une autre crise : celle des valeurs. Quand les modèles qui nous gouvernent sont basés exclusivement sur des critères matérialistes et rationalistes, c’est imposer aux sociétés un carcan materialiste qui nie la réalité profonde de chaque être humain. Carcan entretenu chaque jour par des médias qui banalisent des comportements dévoyés. Comment qualifier autrement ces jeux qui peuplent les programmes télévisés où seule compte la réussite par tous les moyens possibles et où est célébré comme un nouveau César celui qui s’est hissé au sommet en éliminant les autres ? Comment qualifier l’acceptation active, dans le commerce mondial, de « partenaires » qui exploitent de façon éhontée la main-d’oeuvre, réservant profits et richesses à quelques-uns au détriment du pus grand nombre… »
(1) : Secrétaire Général Adjoint de la CFTC en charge des questions économiques et internationales. Membre de la Commission des Sanctions de l’AMF (Autorité des Marchés Financiers.
Son bon sens l’empêche-t-il de se renseigner plus sérieusement et autrement que par des banalités ressassées chaque jour , sur la Chine et la « répression des révoltes ouvrières » ?
La aussi, il y a une trop courte vue un peu trop partisane.