La deuxième partie confirme la première : enfin, on nous parle de notre Histoire comme on parle de l’histoire dans tous les pays du monde, sans que le récit ne travestisse la réalité (1) ou ne vise à « démolir » notre passé, nos racines. Au fond, le personnage principal de ce téléfilm, ce n’est ni la cardinal, ni la reine, ni le roi : c’est la France. Et c’est tant mieux, car c’est ainsi que les choses doivent être. Elles ne l’étaient pas, elles le deviennent : la roue tourne, elle a tourné. Nous l’avons souvent écrit : cette redécouverte de l’Histoire de France vraie ne pourra pas rester sans conséquences, le mensonge ayant été l’une des armes principales, même si elle ne fut pas la seule, employée par les adversaires de la Royauté…..
(1) : à la seule exception près – mais, pour ce qui nous intéresse, c’est-à-dire la vision politique des choses, elle est mineure… – de ce défaut qui consiste à prendre pour argent comptant ce qui est loin de faire l’unanimité chez les historiens, et, en tout cas, dans ces proportions : à savoir la liaison, très fortement appuyée dans le téléfilm, au point d’en être « lourde », vraiment, entre la reine et le cardinal…
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