Les terroristes intellectuels, qui ajoutent l’ignardise (1) au mauvais esprit, ont encore frappé…
Il fallait voir David Pujadas, petit sourire en coin, vendredi soir, qui cherchait à « coincer » Marine Le Pen parce que son père avait cité Brasillach….
Mais son coup a foiré, et il a perdu une bonne occasion de se taire : il n’a fait rire que de lui-même et de son ignorance, et s’est auto-imposé comme simplicius simplicissimus de nos écrans.
Car, enfin, de quoi s’agit-il ? Tout simplement, de deux choses :
1. Comme pour Céline, hier, nous sommes un peuple mûr et cultivé, parfaitement capable de faire la différence entre la vie privée ou les options politiques d’un artiste, et son talent. Brasillach était un grand écrivain, et comme tel, on peut sans aucun problème le lire et le citer. Politiquement, il a fait le choix impardonnable de la Collaboration, et Maurras a eu raison de le mettre, pour cela, à la porte de L’Action française : les deux choses (talent littéraire et erreur politique) n’ont rien à voir….
2. On en a marre que des incultes, des ignares, passent leur temps à nous faire la morale, à nous donner des leçons en permanence, à nous dire qui on doit lire ou pas, ce qu’on doit faire ou penser, ou pas etc… Ils ne vont pas à la messe, ils ont exclu Dieu de la vie, mais ils passent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et 12 mois sur 12 à faire un Jugement dernier perpétuel : ils n’aiment pas Dieu ni son Eglise, ils n’y croient pas, mais c’est bien pire, ils font mille fois plus que les curés en chaire : ils sont Dieu, ils savent, et ils décrètent souverainement et en permanence où est le bien et où est le mal…
L’église de ceux qui refusent l’église; la religion de ceux qui refusent la religion; le dieu de ceux qui refusent Dieu sont un million, un milliard de fois pire que l’original qu’ils combattent… Ils ont inventé un mélange d’inquisition et de commissaires politiques, ils sont présents sur le terrain des ondes et dans la presse écrite, partout et à tout moment, pour interdire et imposer, et s’octroient, en mille fois plus pesant, le droit de régenter nos consciences….
(1) : il faut faire vivre la langue, inventer de nouveaux mots; pour eux, ignarité, ignardise, ce serait peut-être pas mal, non ?…..
Je ne suis pas sûr qu’il y ait des choix politiques « impardonnables », pour un citoyen, lorsqu’un pays est plongé dans un désastre de l’ampleur de celui que la France a vécu, après 1940.
C’est ainsi qu’à la Libération, De Gaulle faisait commander, pour l’Ecole de Guerre, l’Histoire de l’Armée Allemande de Jacques Benoist-Méchin, alors condamné pour collaboration, et que celui-ci devint, plus tard, pour sa politique arabe, conseiller de Georges Pompidou …
C’est ainsi que François Mitterrand conserva, bien des années plus tard, son amitié pour les hommes qu’il avait, lui-même, côtoyés à Vichy, ce qui lui fut, d’ailleurs, reproché, mais en vain.
L’erreur politique est trop facile à stigmatiser lorsqu’elle concerne le camp des vaincus.
Et rien n’empêchera Fabrice Lucchini de lire Céline, dans des théâtres combles du Paris d’aujourd’hui, ni ceux qui ont aimé Comme le Temps Passe, Les Quatre Jeudis, Notre Avant-Guerre ou les Poèmes de Fresnes d’éprouver pour Robert Brasillach ce sentiment fraternel qu’inspire son œuvre et sa destinée, quoiqu’il en ait été de ses erreurs et de ses « choix » politiques des années 40.
Qu’importe, d’ailleurs, qu’ils soient – ou non – pardonnés ou pardonnables ? Qui en aurait le pouvoir ? Ou la prétention ?
Je me permets de conseiller l’opuscule du magistrat en retraite, ex avocat général, Philippe Bilger, sur le procès Brasillach Une synthèse de ce que fut la guerre civile de la « Libération ». Titre « 20 minutes pour la mort », mars 2011, éd. du Rocher 18 Eur. L’ignominie de cette condamnation en 150 Pages. Brasillach repose au cimetière Saint Germain de Charonne (proche porte de Bagnolet), à côté la tombe de Maurice Bardèche.
Jaco et Faure ont raison. Comme Brasillach a été condamné à mort et exécuté, c’est parcequ’il avait fauté. Cela est l’histoire officiellement enseignée qui a permis l’établissement d’un fond de commerce gaulliste basé sur la vertu alors qu’en réalité il est totalement vermoulu .
Deux cent vingt ans après, il n’est pas possible de faire éclater la Vérité sur les Guerres Contre-Révolutionnaires, alors pour des faits qui ont 70 ans !!!
Qui condamne Sartre qui a collaboré, d’abord avec les nazis puis ensuite avec les communistes staliniens?
Il y a des racontars frappés du sceau « Historique ». D’autres sceaux frappés « Négationnisme ». Les premiers sont épandus (comme le fumier) les seconds, en tout arbitraire, mènent en prison ou à la marginalisation.
Le dernier exemple flagrant est la déprogrammation en quelques heures de l’émission de Reynald Secher, sur le Génocide vendéen, qui devait passer sur France Culture jeudi dernier à 15 h 30. Sans une seule explication. Vae Victis !
Merci pour votre exposé.
et les réponses : Vae victis en effet !
Brasillach avait du talent, cela dérangeait aussi à l’époque , d’accord il s’est trompé de vainqueur, donc malheur aux vaincus et il a payé très cher d’une façon indigne boulets aux pieds etc .. la honte des vaniqueurs pour en justifier une autre.
Je ne suis pas pour humilier l’ennemi surtout qund il est à terre, il en reste toujours la tentation pour certains d’en faire un martyr et surtout de susciter les vengeances. (cf la guerre de 40 après celle de 14.)
Il semblerait que si on oublie Staline on soit plutôt maso en ce qui concerne cette période de l’Histoire sous le prétexte de « Plus jamais ça »
Or la nature humaine est ce qu’elle est, la torture n’est pas abolie, prenons plutôt garde actuellement d’aller vers une dictature qui oriente un peu trop notre façon de penser.
Il s’agit toujours de discréditer, de diffamer, à défaut de pouvoir discuter et de savoir réfuter, celui qui est désigné comme
l’ennemi. Le référent politique a changé, mais le principe est identique. Le stalinisme est un tempérament. C’est une structure mentale qui perdure chez certains individus à travers leurs multiples évolutions politiques.
Quand on voit comment se comportent ceux qui devraient être des professionnels du dialogue, de la tolérance, de l’ouverture d’esprit, on ne peut pas s’étonner de la déliquescence du milieu politique et de la pauvreté des débats qui s’y mènent.
Je pense que se lâcher de la sorte a dû faire du bien au réducteur de cette note, en tout cas cela a fait du bien à mes yeux.
Il faudrait envoyer cette note à tous les sites d’information du pays.
« Ce sont les tyrans maladroits qui se servent des baïonnettes, l’Art de la tyrannie consiste à faire la même chose avec des juges» Camille Desmoulins, la veille d’être guillotiné.
j’ai eu le plaisir de relayer votre article :
http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-les-terroristes-intellectuels-celine-brasillach-et-les-le-pen-100220613.html
Peut-on mériter la mort pour ses seuls écrits ? Apparemment la question ne se pose pas pour les adversaires farouches de la peine de mort.
Qui rappellera à Mélenchon (Melan Chton)que les premiers collaborateurs ont été ses amis communistes, au moment où la Wehrmacht et l’Armée Rouge se partageaient la Pologne?
C’est vrai qu’on en a plus que marre de cette dictature des médiocres, de cette chape de mensonge qu’il faut avaliser sous peine d’être disqualifié.
Face au jury de tchékistes et d’idiots utiles qui ne le lâchent pas, Jean-Marie Le Pen a eu une très belle déclaration : « Je suis un homme libre… » (à voir sur daily motion)
De mémoire,(donc à vérifier) Brasillac fut condamné à mort du fait qu’une photo le représentant en uniforme allemand a été montrée sans aucune explication de sa provenance à de Gaule qui, bien sur, a de suite jugé.
POUR LA MAIRIE DE PARIS- CONTRE HIDALGO ET SA CLIQUE:>
Rejoignez-moi- Combattons-les-Foutons-les DEHORS.
:>
POUR LA MAIRIE DE PARIS- CONTRE HIDALGO ET SA CLIQUE:>
Rejoignez-moi- Combattons-les-Foutons-les DEHORS.
:>
@blh
Je profite que ce billet remonte grâce à Jean Meyer, et je me permets de compléter ce que dit blh sur la condamnation de Brasillach. Rien de plus objectif que le petit ouvrage de 160 pages de l’avocat général Philippe Bilger, aujourd’hui en retraite « 20 minutes pour la mort ; Robert Brasillach : le procès expédié ».
Ce fut la durée du délibéré. L’intérêt du livre est d’une part qu’il a été écrit par un homme de l’art dont le métier fut de requérir au nom de la société dans les procès les plus durs, que son livre date de Novembre 2010 donc longtemps après la tragédie, et qu’enfin il eut à souffrir dans son cœur de la guerre civile à la Libération, avec la condamnation injuste de son père.
Ce qu’il écrit tant du procès que de l’ambiance de l’époque, laisse peu de place aux spéculations sur le poids des cocos et la vengeance qui était leur pain quotidien, bien entendu très loin de ce que l’on pourrait éventuellement appeler la Justice. Et aucune mention de cette photo.
Et la cerise sur le gâteau, l’avocat général Marcel Reboul ayant tenu la même fonction pendant l’occupation, après avoir prêté serment au Mal Pétain (!). C’est toujours pour moi un mystère que ces magistrats parviennent à dormir et à se regarder dans une glace.
Quant à l’attitude de De Gaulle, elle est parfaitement rapportée dans les mémoires de Peyrefitte, où l’on voit une fois de plus un politicien dévoré d’orgueil, ayant la certitude d’être la France, et donnant des explications tarabiscotées et finalement mièvres sur sa décision de faire fusiller l’écrivain, malgré la démarche du comité d’auteurs qui est intervenu. En filigrane on voit très bien comment De Gaulle était sérieusement ligoté par ses compromissions avec les cocos. Peyrefitte avait retrouvé le dossier d’accusation, de condamnation et de recours en grâce (avocat Maître Isorni). De Gaulle avait écrit en travers sur la page de couverture «Il ne l’eut pas voulu». Formule grandiloquente, terriblement imbécile, parlant d’un homme qui allait tomber sous des balles françaises.
Il repose au cimetière Saint Germain de Charonne (non loin de la porte de Bagnolet). Maurice Bardèche est enterré de l’autre côté de l’allée.
Le meilleur service qu’ait pu rendre le Général à Brasillach, c’est de l’avoir fait fusiller, de lui avoir ainsi donné une aura que son petit talent de romancier (et son grand talent de mémorialiste) auraient peiné à lui assurer aujourd’hui…
Qui peut imaginer que s’il avait vécu, on en parlerait davantage de nos jours que de Paul Bourget ou de Maurice Constantin-Weyer ?
Oui JEAN MEYER , il faut vraiment les sortir !
http://www.marianne.net/blogsecretdefense/Le-Conseil-de-Paris-refuse-de-dedier-un-espace-public-aux-militaires-francais-tues-en-Afghanistan_a790.html
Il faut oser l’écrire ! C’est a contrario le grand intérêt d’un site de voir passer ce genre d’élucubration …
Toi avoir raison, Jean-Louis Faure : Brasillach être immense romancier et Louis Aragon sale pédéraste communiste.
Toi connaître Littérature et moi avoir honte.
Tu parles de l’agent soviétique qui versifiait à la gloire de la Guépéou, et qui conchiait le drapeau français ?
Je parle d’une franche canaille qui était un immense écrivain.
Y’a pas que la Morale dans la vie. Y’a aussi le Talent.
Quelque soit le talent littéraire d’un « grand » auteur,
si cela s’accompagne de violences sur les faibles,
le dit talent ne vaut rien.
Proust violait et humiliait les garçons de course de 12 ans
qui lui apportaient des messages écrits (le telephone etait encore balbutiant et Proust n’en voulait pas) puis qu’il renvoyait a un autre auteur pédopervers avec un petit mot de recommandation sur ce qu’il fallait faire subir a l’enfant…
Le Christ est tres clair dans les evangiles sur la destinée
de ceux des adultes qui touchent aux enfants….
« Il eut mieux valu pour eux qu’ils ne fussent jamais nés »
(les adultes bien sur)
Supprimons Proust, supprimons Hugo (qui lutinait ses très jeunes bonnes à un âge avancé), supprimons Baudelaire et Flaubert (qui écrivaient des cochonneries sexuelles à leurs maîtresses), supprimons Stendhal (qui se masturbait en songeant à ses belles amies), supprimons Molière, qui couchait avec la mère et la fille Béjart (ensemble?)… et nous resterons avec qui ?
Brasillach, qui dénonçait des Juifs à l’Occupant (ce qui ne m’empêche pas de lui trouver un grand talent de mémorialiste)…?
Quelquefois l’invraisemblable niaiserie de mes amis (?) royalistes me donne envie de rire et de pleurer…
Au fait, selon beaucoup d’excvellents biographes (Painter, Diesbach, Duchêne) le grand plaisir de Proust était de voir percer des rats d’une épingle à chapeau par un robuste travailleur manuel pendant qu’il se tripotait sous son drap…
Quel vilain coquin, n’est-ce pas ? Comme on agirait bien en faire des autodafés, de cette littérature qui nous a causé tant de mal !
Votre réponse est très intéressante en ce sens que vous ne citez
dans vos exemples,aucun cas de pédoperversion, ni d’inceste, ni de sodophilie pour les differents auteurs mentionnés par vous.
Pour votre gouverne,il y a bien 2 grandes familles royalisante
en France;
La famille Esthetisante athéoagnosticodeiste(voir maçonnique)
et la famille Continuiste Croyante dans le Catholicisme de toujours.
Pour les royalistes croyant toutes les choses de ce monde
ont un sens.Ceci est liée au principe de continuité générationnelle.
Chacun poursuit un idéal s’efforçant de respecter ce sens.
Il n’est pas interdit de chuter,tout en restant dans une « fourchette ».
Ceci avec la conscience de 5 interdits absolus ignorés de vous :
1.La Pédophilie,véritable perversion.
2.L’inceste,dans tous les sens du terme.
3.La Sodophilie,dans tous les sens du terme.
4.Le Viol de la relation imposée par le plus fort.
5.La violence sexuelle sadomasochiste consentie ou imposée.
Dans ces 5 cas ,nous sommes face a des pathologies
qui ne peuvent que s’aggraver au fil du temps.
On ne demande a personne d’etre parfait et sans péché,sous réserve d’avoir le sens de l’interdit absolu,celui du contre sens.
Celui ou celle qui franchit la ligne de l’interdit du contre sens quitte la famille des croyants royalistes et peut fort bien rejoindre celle des esthétisants qui n’est qu’une posture originale et confortable.
Elle permet en réalité de conforter les turpitudes par justification.
Que Victor Hugo ait eu des maitresses a tire larigot,la belle affaire.
Il en avait les moyens tant physiques que financiers.
Pour le déroulement de ses « relations »cela ne regarde
que les 2 personnes adultes et consentantes.
Ecrire des « cochonneries » a sa maitresse ,ou est le mal
commis a un tiers ????.
Coucher avec la mère,puis avec la fille ou est l’inceste de Molière ???
Ceci est du libertinage mais pas de l’inversion de sens…
Oh, j’aurais pu citer des gens de grand talent qui, selon vos définitions, dépassent les bornes : André Gide… ou le Maréchal Lyautey, le second idole royaliste, qui sodomisaient l’un et l’autre de charmants petits arabes….
Et si je ne suis pas aussi spécialiste que vous des perversions dites pathologiques, je suis persuadé qu’en fouillant un peu, on trouverait mille exemples de grands artistes, grands romanciers, grand poètes, grands bâtisseurs qui entreraient dans vos catégories.
Mais la querelle est bien mince. A votre contraire, je tiens que talent et morale ne font pas ménage obligé et que la société n’a rien à voir là-dedans, sous réserve des interdits formulés par le Code pénal.
C’est une affaire entre la Créature et son Créateur.
Pour répondre à votre distinction sans nuances entre les familles royalistes, je dois dire ne me reconnaître ni dans » La famille Esthetisante athéoagnosticodeiste(voirE maçonnique)
et la famille Continuiste Croyante dans le Catholicisme de toujours ».
Mon catholicisme est engagé dans ma paroisse et mon diocèse, dans la continuité des enseignements de l’Église.
Je ne vois pas trop ce qu’est le continuisme catholique (sauf à tomber dans le pléonasme) ; si vous désignez par là la secte lefebvriste et son évêque nazi…je ne pourrais pas croire que sur un site aussi distingué, et en principe intelligent, de telles choses puissent survenir..
Vous avez de grandes difficultés a saisir les nuances.
Confusions et inversions sont emblématiques de notre époque.
Les gens font ce qu’ils veulent entre adultes consentants.
Personne n’est obligé de s’inscrire dans l’idéal de royauté française.
Que des politiques ou militaires se soient définis comme « royalistes » sur des bases strictement tactiques et électoralistes peu m’importe.
Comme les libertins Stéphane Berne ou Thierry Ardisson. 2 Clowns.
Pour ce qui est de vos convictions conciliaires,notez que la dite Eglise conciliaire se moque comme de l’an 40 de commémorer les victimes de l’horreur républicaine des années 1792/1793/1794.
Comme elle se contre-moque des jeunes mères de 15/25 ans scolarisées ou étudiantes (50% des avortements) qui ne demandent qu’une adaptation a leur situation pour pouvoir continuer a la fois leurs études et leur grossesse.
Votre Eglise conciliaire depuis 1975 a toujours refusé de mettre en place un service de continuité scolaire/universitaire pour les jeunes mères…Comprenant a la fois une résidence adaptée et une pédagogie adaptée,tout en scolarisant plus de 2 millions d’élèves dans le secondaire.
Créer un seul lycée résidentiel dédié a ces jeunes mamans est au dessus de sa force.
Vous avez la liberté de choisir a la condition que vous choisissiez l’avortement parce que pour l’enfantement,nous n’avons rien prévu pour vous…
Qu’est-ce que c’est que « l’idéal de la royauté française » ? Moi qui suis un nationaliste français de stricte obédience, qui pense que la monarchie a été le régime idéal pour notre pays, je n’y attache pas, comme vvous, une valeur qu’on pourrait dire « mystique ».
C’est pourquoi le sort du Prince jean et des Capétiens-Orléans m’indiffère assez…
L’essentiel est que la France vive. Comme disait Marcel Aymé à l’atlantiste Thierry Maulnier : « Mieux vaut une France communiste à pas de France du tout ».
« Mon » Église conciliaire EST l’Église. Vous en avez une meilleure à nous proposer ? L’évêque nazi pourrait devenir Pape et successeur de Pierre ?
Va y avoir du boulot pour nous convaincre…
Épargne nous ton classement foireux entre communisme et nazisme. Selon la belle formule de Pierre Chaunu, deux jumeaux hétérozygotes. Ce que le professeur Besançon a aussi appelé les deux malheurs du siècle. Avec un avantage très net au premier pour l’assassinat industriel de populations, enseignant les techniques au second. La seule différence est que seul le second fut appelé au tribunal de Nuremberg et le procès du premier reste à faire. On peut être surpris par l’intransigeance et la raideur de « machin », mais je partage absolument ses conclusions sur l’échec de Vatican II, et les conséquences catastrophiques pour l’église. Cependdant dans un cycle historique, ce n’est pas la première fois dans l’histoire des conciles que des pseudo réformes empoisonnent l’atmosphère. Sur celui-ci les mises au point abondent. Le livre du dominicain Bruckberger « Toute l’église en clameurs», et l’opuscule de Frossard il y a 20 ans rassemblant ses lettres aux évêques «Le parti de Dieu».
Tu me sembles avoir des sérieuses lacunes sur la nature de la Royauté Sacrée. Tu ne les combleras pas chez golias, télérama ou témoignage chrétien.
Au moins cette digression permet-elle de revenir à l’objet du billet.
Dites donc, Jean-Louis Faure qui me tutoyez sans que je vous connaisse ou vous en aie donné la permission, faites-moi tous les procès que vous voulez, mais pas celui d’être agent de Moscou, et moins encore un thuriféraire du progressisme dit chrétien.
J’écris simplement que je n’ai vu nulle part chez Maurras une conception mystique de la Royauté, que c’est une forme de gouvernement sans doute préférable pour la France, mais tout de même contingente.
Ce qui compte c’est la France.
JLF,merci pour votre petit mot de soutien.
Pour Mr PB,vous qui citez Maurras et l’absence chez lui
de Mystique royale.
Nous sommes tous limités,Vous,JLF,Moi et Maurras. Tous.
Que Maurras ne fut pas « croyant » peu importe a son niveau.
Il a simplement contribué de maniere brillante et logique
a la reflexion sur la responsabilité royale pour la Paix dans la Cité.
Pour votre argument de Naziolloguiste,c’est nul.
Williamson a été mis sur la touche par sa communauté.
L’eglise conciliaire n’est plus catholique au sens strict du terme.
Tous les sacrements ont ete inversés….
Il n’y aura pas de vraie France sans le Roi
Il n’y aura pas de Roi sans la Foi.
Un vrai Roi avec une vraie Foi.
Le vrai Roi avec la vraie Foi pour des vraies Lois.
Le Roi,La Foi ,La Loi.
Où est la Nation, dans votre prêchi-prêcha ?
Il y a assez sur ne Net de sites pour les fondus mystiques pour laisser entre eux ceux qui s’occupent de POLITIQUE.
Je ne nie pas la bonne foi de Machin mais son christianisme à « la nuque raide » est lassant. Surtout que Machin y ramène sans désemparer, quel que soit le sujet des notes de ce blog ou les sujets évoqués dans les commentaires (politiques, littéraires, ou autres). L’on finit dans un certain talibanisme ou un christianisme de mauvaise facture. Sans compter la honte de l’allusion de Machin dans un autre commentaire, aux « acrobates du pape » Benoît XVI ! Rapporter ce misérable ragot est, en effet, proprement indigne et dégoutant. A vrai dire, inadmissible. Benoît XVI est un grand esprit. Ce n’est pas ainsi qu’on en parle.
Je ne nie pas non plus les très mauvaises retombées de Vatican II pour l’Eglise et pour la société – qui est le domaine dont traite ce blog, je me permets de le rappeler. Elles sont bien connues, y compris des hommes d’Eglise. Je ne nie pas davantage que, volens nolens, les conséquences de ce concile continuent de produire de mauvais fruits, surtout en France, d’ailleurs. Mais tout de même ! Si l’on n’est pas borné par un esprit de secte desséchant, l’on observe qu’après près d’un demi-siècle, après le pontificat de Jean-Paul II, et sous le pontificat en cours, après les rectifications et les recadrages exprimés à maintes reprises par Benoît XVI, « l’effet concile » s’éloigne, et que l’Eglise, sans rompre d’ailleurs, nécessairement, avec ce que nous croyons être ses erreurs politiques d’avant et d’après concile, a tendance à se recentrer sur ce qui constitue son essence, au moins religieuse et morale.
Machin est plus raisonnable lorsque – en contradiction avec sa manière, en général péremptoire, en tous domaines – il concède que nous sommes tous limités- y compris lui-même.
Il devrait en résulter un peu plus de prudence dans nos propos sans que cela veuille dire mollesse ou compromissions !
Les traditionalistes expliquent le déclin de l’Eglise par la nouvelle orientation qu’elle a prise depuis le concile de Vatican II. Si l’Eglise ne recrute plus, disent-ils en substance, c’est qu’elle a changé, qu’elle s’est ralliée aux valeurs du modernisme autrefois condamnées par le Syllabus.
Tout n’est certes pas faux dans les critiques des traditionalistes, mais c’est la perspective générale dans laquelle elles s’inscrivent qui passe à côté de la réalité. Elles croient pouvoir s’épargner une analyse générale du moment historique qui montrerait que la situation actuelle de l’Eglise s’explique beaucoup plus par des
causes extérieures que par une réorientation intérieure. Le statut général de la foi à l’époque actuelle dépend en fait assez peu des orientations des Eglises.
Une Eglise catholique qui n’aurait pas du tout « changé » serait aujourd’hui, très probablement, dans une situation plus difficile encore. Et la relative vitalité des groupes traditionalistes n’est en rien un démenti à ce constat : plus une tendance générale s’affirme, plus elle produit en réaction des crispations en sens inverse dans des milieux limités. La résurgence de l’ »intégrisme » ou du « traditionalisme » (ou encore du « talibanisme » comme l’écrit Anatole) n’est pas le signe avant-coureur d’un retour à l’ancien ordre des choses, mais au contraire l’indice le plus sûr que la religion se dirige désormais dans la direction opposée.
On notera en passant le caractère quelque peu paradoxal de la critique traditionaliste de la « protestantisation » de l’Eglise de Rome. Compte tenu de leur position, les traditionalistes sont contraints d’adopter l’idée selon laquelle c’est la « vraie foi » et la « fidélité à la tradition » qui disent où est l’Eglise véritable. Or, tel était exactement le raisonnement de Luther.
D’un point de vue strictement catholique, c’est précisément l’inverse : là où est l’Eglise de toujours, là où est le pape, là est également la foi véritable.
Mon intention n’est pas de polluer le site,d’autant plus que
le webmestre fait une magnifique travail de documentation
et de sélection.
Si aucun autre lecteur ne voit d’interet dans mes contributions,(donc défaut de commentaires en complément des miens),je suis disposé a disparaitre et ne plus gener les commentaires « normatifs ».
Juste en dessous,veuillez trouver un lien vers une petite video
de 8 mn sur Youtube avec au point 2.16mn la presentation du temoignage de l’americaine repentie Bella Dod sur l’infiltration sovietique de l’eglise par des agents sodophiles entre 1928 et 1949. Somme toutes la meilleure maniere de s’infiltrer dans les milieux
les plus fermés.(Ecoles de Sexpionnage du NKVD-KGB).
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=FeEkSJukLaw#!
Pour ce qui me concerne,et pour faire plaisir a PB,il y a encore 18 mois ,j’etais « normal » comme tout le monde et comme lui.
L’idée d’une manip systématique au sein du Vatican me paraissait une histoire de fous furieux.
Ce n’est que progressivement que le virus s’est infiltré dans mon esprit brumeux à force de lire et de visionner des témoignages ,
dont des films d’époque et des photos avec des chronologies.
Pour aggraver mon cas,je dois dire,je me suis rendu a une messe commémorative du Martyre de Louis XVI le 21 janvier 2012.
Il faut avouer aussi que il y a 15 ans,je m’étais rendu a une messe
a Saint Nicolas du Chardonnet sans le dire a mon épouse.
Je fus non pas frappé ni par la foudre,ni par une prune mais favorablement impressionné par le recueillement,chose quasi-inconnue chez les conciliaires.
Bref,apres mes recherches de 2011/2012,une nouvelle image du Vatican est apparue,curieusement conforme a des annonces mariales que je considérais jusqu’alors,comme incohérentes,enfantines et bizarres (Fatima et ND de la Salette,etc).
Je ne voyais aucun lien éventuel avec la Russie,et cette curieuse idée de consécration de la Russie citée dans les apparitions.
A la lumiere de la dérive évidente de V2 et de l’infiltration des sodophiles (bien connue a Rome) et du lien avec la Russie Sovietique des années 1927/1989,il est évident que les preuves d’une éventuelle infiltration et d’un tel sabotage se trouvent a Moscou.
Seul un retour des dirigeants russes a la religion de toujours
pourra permettre l’ouverture des dites archives….
D’ou cette idée saugrenue de consécration de la Russie…
C’est la seule explication que je vois dans ces « demandes » mariales.