Le couple d’origine guinéenne, jugé à Nevers pour l’excision de ses 4 filles, a été condamné à 2 mois de prison ferme (pour le mari) et dix-huit mois (pour la mère).
Cette décison ne nous satisfait pas. Cette « affaire » remet sur le devant de la scène un scandale inadmissible, et pourtant admis depuis des décennies : ce procès pose en effet la question de la survivance de cette coutume parmi les migrants d’origine africaine en France. Il y aurait dans l’Hexagone 50.000 femmes adultes excisées….
Nous n’avons rien à dire, et pas de jugement de valeur à porter sur les us et coutumes, les moeurs, les habitudes etc… des populations de la terre entière. Tout simplement parce que la France n’a pas juridiction sur la terre entière, et que nous n’avons le pouvoir, et le droit, de nous occuper que de nos affaires.
Vu l’état lamentable dans lequel le Système a mis la France, c’est déjà, du reste, largement assez pour nous occuper à plein temps !…
Par contre, nous avons parfaitement le droit – et même le devoir – de dire que de telles coutumes, nous n’en voulons pas chez nous. D’Athènes à Dublin, de Moscou à Lisbonne, jamais, en Europe, on n’a pratiqué cette « coutume » de l’excison, que nous avons le droit de décréter, ici, barbare. Que les Guinéens – et d’autres… – la pratiquent chez eux, c’est leur affaire et, comme nous le disions au début, nous n’avons pas à juger les autres chez eux. Qu’ils excisent, qu’ils pratiquent la polygamie, le « mariage » (!) des filles à 9 ans… tout ce qu’ils voudront, chez eux : c’est leur affaire !
Mais s’ils viennent en France, qu’ils adoptent nos moeurs, nos us et coutumes, du moins les fondamentales : ils peuvent « garder » tel ou tel aspect de leur culture d’origine, si celui-ci ne contredit pas la nôtre… mais exciser, non. Sans discussion, sans faiblesse, sans rien : non, point barre !
Ou alors, s’ils veulent vraiment conserver des moeurs fondamentalement contraires à nos pratiques ancestrales, bi et tri millénaires, qu’ils ne restent pas ici. Et si on a commis la folie de leur donner un rectangle de plastique, croyant par là en faire des français (comme si c’était aussi simple !…), qu’on ne leur inflige pas quelques mois de prison, mais qu’on leur retire cette nationalité qu’ils ne font pas l’effort d ‘assumer, qu’on les en déchoie, et qu’on les expulse…..
Ces gens qui font de telles choses, et qui se fichent comme d’une guigne de nous, de nos us et coutumes, de nos moeurs et traditions, de nos « valeurs » (pour employer le mot à la mode, dans le jargon…) ces gens-là n’ont rien à faire chez nous…
dehors ces gens . Nos gouvernants sont vraiment des débiles qui ne tiennent pas en compte nos valeurs . Occident ou va tu !
Au temps (aujourd’hui forcément honni) de la colonisation, la plupart des pays européens se sont investis dans la reconnaissance du respect de l’homme en Afrique.
Que ce soit la France, la Grande Bretagne, l’Empire allemand, l’Espagne ou le Portugal.
Trois fléaux y faisaient des ravages effroyables à des titres divers : l’esclavage des enfants, les guerres tribales…et l’excision…
Que ce soient les missionnaires pour des motifs religieux, les maçons de Jules Grévy pour des motifs humanistes, ou les prospecteurs et planteurs pour des motifs purement économiques, durant pratiquement un siècle, l’administration coloniale s’est trouvée confrontée à ces trois problèmes et les finalement pratiquement réglé en faisant respecter l’interdiction de ces pratiques sous peine d’arrestations systématiques et de sanctions individuelles graves…
Lors de la proclamation de l’indépendance, la toute première mesure prise dans la plupart des états d’Afrique de l’est a été précisément… la restauration de l’usage de l’excision !
En Afrique de l’ouest, l’esclavage qui n’avait cessé – en terme de commerce d’exportation – qu’en 1888 après l’abolition de la traite au Brésil, continuait toujours sous une forme déguisée larvée : le prêt avec gage d’enfant qui connut une explosion à l’indépendance .
Celui qui « prêtait » une somme convenue « recevait » en gage un enfant, censé le servir pour payer son entretien, le temps que les parents puissent le rembourser…
(Inutile de dire que jamais les parents ne remboursent : c’est de l’achat d’esclave pur et simple…)
Cette pratique est toujours très largement répandue chez les africains, mais elle se double assez sordidement à l’exportation aujourd’hui d’un marché pédophile… (On n’arrête pas le progrès !)
Quant aux guerres tribales, on en a déplacé le problème en répandant le nationalisme, indispensable à la cohésion et à la dynamique des jeunes états en émergence…
Les guerres tribales sont devenues des guerres civiles comme la palabre s’est reconvertie en discours politique…
On a ainsi compris dans les années soixante que le modèle humain de l’Occident Chrétien n’était pas finalement adaptable à l’Afrique…
Certains « intellectuels » de la « gôche bien pensante française » en ont profité aussitôt pour expliquer que l’histoire avait démontré que le modèle assimilationniste était clairement inadapté à l’immigration africaine (parce que les autres formes d’immigration, elles, n’ont jamais posé de problème !)
On a alors inventé l’intégration : un modèle social où l’immigré conserve (et donc finalement impose) ses valeurs et son mode vie, accepté de gré ou de force par les gaulois de souche surveillés, voire espionnés, par les organisations anti-racistes largement rémunérées par l’état !
L’ONU et les organisations humanitaires comptent les morts des incessantes « guerres civiles » qui ravagent l’Afrique, la Croix Rouge ramène périodiquement, notamment au Nigéria et au Ghana, des milliers d’enfants – rachetés avec nos fonds, rendus à leurs parents pour qu’ils puissent…les revendre le lendemain…Et en Europe, on est effaré du nombre de fillettes qui meurent des suites de l’excision…
(Personne ne songe d’ailleurs aux effroyables souffrances endurées par les autres qui en réchappent! On n’en parle jamais …)
C’est cela l’intégration !
Il faut être conscient que les larmes de crocodile ne servent de rien.
Il n’y a pas de milieu, et précisément, l’importation de telles coutumes en est la preuve !
On assimile – comme on l’a fait depuis trois mille ans et on ferait de bons gaulois, même avec des arrivants très bronzés – ou on intègre, comme on veut le faire à tout prix contre toute logique au péril de la cohésion nationale …
Cela conduit au communautarisme, à l’instauration d’usages qui nous sont étrangers, et à des frictions entre des populations qui délitent, par leurs façons d’être, l’unité de la communauté nationale…
L’intégration, cela ne marche pas ! (Même un Sarkozy a fini par le comprendre ! C’est dire !)
Mais ses conséquences peuvent s’observer tous les jours, des banlieues en feu aux petites filles mutilées…
Les antiracistes – intégrationnistes en sont les SEULS responsables !