Par Michel Janva.
Samedi 23 janvier en commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi confortant le respect des principes de la République, le député Emmanuelle Ménard a proposé de réécrire le premier article de la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat, passant de
« La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l’intérêt de l’ordre public ».
à
: « L’Etat français, fort de son héritage chrétien, assure la liberté de culte et la liberté de conscience ».
Emmanuelle Ménard explique :
« ce n’est pas la République, simple régime politique, qui garantit la liberté de conscience, mais bien l’Etat français à travers tous les régimes politiques assumés ». « L’Eglise catholique ne peut être traitée tout à fait de la même manière que d’autres cultes arrivés plus récemment ».
La proposition a fait bondir les habituels députés hystériques, qui ont jugé que cet amendement remettait en cause à la fois la République et le principe neutralité envers tous les cultes. Gérald Darmanin a notamment fait remarquer que
« La forme républicaine de notre gouvernement ne peut être mise en cause ».
Et pourquoi pas ? Cette République étant incapable d’assurer notre sécurité, notre liberté, ni notre identité. ■
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Aïe ! Elle a touché là où ça fait mal ! La fragilité idéologique de la république mise à nu…..
les politiciens, en particulier ceux de la LREM, s’accrochent à le république comme à une bouée de sauvetage, leur navire ayant fait naufrage!
Comme le dit si bien Monsieur zemmour, les élites autodésignées de la république naviguent pour établir un état mondial aux ordres des plus riches. C’est pour cette « raison suprême » que notre république confine et masque toute une population, dans l’objectif de détruire le petit artisan, le petit commerçant, de réduire les élèves à encore moins de connaissances, de s’endetter à l’union européenne pour s’ancrer définitivement à ce futur espéré gouvernement libéral mondial.
Tout en bas, le peuple abandonné, regarde la vague d’invasion qui impose une religion politique qui veut couvrir le monde en commençant par la France. Mais pourquoi donc, la France. Il faut regarder en face ce que sont devenus les descendants des Gaulois qui coupaient la tête de leur ennemie, les soldats qui en première ligne offrait leurs poitrines aux sabres ennemie, les soldats modernes qui s’enterraient et tous les matins offraient cette fois leurs poitrines à la mitrailleuse ennemie, les soldats venus des colonies qui offraient leurs corps aux bombardements des avions et de l’artillerie lourdes, pendant que les généraux se tenaient à l’arrière, puis les petits soldats appelés qui se battaient avec de vraies armes , contre un ennemie inconnu pour des gens inconnus, imposés par une république qui les a abandonné . Oui ou sont ces valeureux Celtes Occidentaux, Français, devenus brutalement à l’annonce d’un virus, très silencieux, confinés et masqués. Manque de courage ou abandon de notre pays historique, cette France « doux pays de mon enfance. » Ce n’est pas un problème spirituel, c’est un objectif financier, alors si tous les chrétiens de France se donnaient la main, oubliant d’être lâche. C’est un rêve, mais le problème de la France moderne ne sera résolu que par le peuple de France, s’il en a le courage.
Les Français sont républicains par habitude » c’est comme ça depuis 172 ans….)
celà dit nous allons droit vers la faillite, la montée de la délinquance crapuleuse, que la République ne sait pas et ne veux pas combattre.
Alors la question sera , un jour ou l’autre: le ROI , comment?????
Disons toutefois que l’expression « État français » employée par Emmanuelle Ménard était particulièrement malheureuse (et même provocatrice).
J’aurais écrit « l’État, expression juridique de la Nation française et porteur de son héritage chrétien… » Ça n’aurait pas davantage passé la rampe, mais ça évitait les rapprochements douteux.
En fait, cette citation de Darmanin s’appuie sur l’article 89 de notre constitution, qui stipule que « La forme républicaine du Gouvernement ne peut faire l’objet d’une révision. »
Après, une constitution, c’est comme un ordinateur, c’est censé durer longtemps, mais dans les faits…