[4′] C’est une suite remarquable à notre article précédent. Nous n’y ajouterons rien, ayant déjà dit quel regard nous portons sur Génération identitaire. Et sur le tollé que suscite le projet de dissolution du ministre de l’Intérieur.
Une autre remarque s’impose qui nous concerne bien davantage. Il s’agit en effet de savoir que le Pouvoir actuel entend désormais faire régner l’ordre idéologique qui est le sien, au moyen d’une politique de symétrie active qui frapperait les patriotes nationalistes dans leurs organisations et leurs moyens d’expression, notamment numériques, tout autant, si ce n’est davantage, que les islamogauchistes, les black blocs, les islamistes et autres forces destructrices de tous ordres. L’Action française pourrait, dans un tel cadre, être une cible toute désignée. Qu’est-ce que cela prouve ? Que la République française reste plus que jamais imprégnée de l’esprit de son origine. Elle a pratiqué l’extrémisme idéologique le plus sectaire ; elle a inventé la Terreur. Un esprit de résistance lucide, intelligente et globale s’impose, que l’Action française et les royalistes incarnant par réflexion et par tradition.
Bonjour,
GWG est d’une grande lucidité avec un propos très didactique que chacun devrait pouvoir comprendre.
La République n’est bientôt plus que l’ombre d’elle même se rapprochant dangereusement des républiques socialistes de feu le bloc de l’Est!!
Restons vigilants et sachons garder nos idéaux vifs, plus que jamais d’actualité !
Rien de commun pourtant entre les activistes terroristes de l’intérieur de BarakaCity et les patriotes identitaires calmes et pacifistes (rien que de plus normal, nous sommes en France) de GI.
Pays totalement à la dérive !!
Cher Me Goldnadel
Je me definis, tout autant, ccomme français et non comme républicain :
– Francais de culture.
– Republicain par force.
La plupart des partis, jadis au pouvour, coopèrent plus ou moins, avec le pouvoir en place.
Mon pays, la France, est trahi.
Son futur ne peut plus s’inscrire dans cette république gouvernée par des commissions, des conseils et non par le parlement composé d’élus.
Bien à vous
Daniel Gastel