(Il a su se faire élire – plus « par défaut » et par rejet du président sortant que par adhésion… – grâce à la magie ou à l’enfumage du verbe, dont il a joué au maximum : magie qui, là non plus, n’aura pas duré cent jours : à peine élu, il bat déjà des records d’impopularité; le roi est, déjà, nu…)
C’est le moment de se rappeler ce mot cruel, mais si juste de Léon Daudet : « On peut toujours assembler des mots. La difficulté commence quand il s’agit de faire marcher ensemble les choses représentées par ces mots… »
Sa politique est condamnée à l’échec, on ne peut créer delarichesse en ponctionant toujours plus, en créant du chomage, malgré les emplois « bidons » à venir, il n’a pas voulu saisr le problème financier à la base.
pourfaire de la politique il faut tenir les cordons dela bourse.
Bien que n’étant en rien un admirateur des riches ou des ploutocrates, je ne comprends pas cette sotte politique de les chasser ou de les arnaquer par l’impôt. La seule démagogie et la stratégie vieille comme le monde du « bouc émissaire » expliquent cette attitude des gouvernants actuels, dont beaucoup, comble de l’hypocrisie, roulent carrosse.
Par ailleurs, Ce ne sont pas les SDF ni les Roms qui vont créer des entreprises et créer de l’emploi.
La seule explication possible est la bêtise extrême de nos actuels gouvernants. Et, contre cette bêtise, le poète Schiller le rappelait, même les Dieux luttent vainement !
Toute la symbolique du crocodile s’appliquant à la politique hollandaise : de grands mots, de piètres actes… En temps de crise systémique, une telle conduite est proprement absurde !