Notre rôle n’est bien sûr pas de défendre Jean-François Copé ni l’UMP. Mais tout de même : dans la série « plus c’est gros, plus ça passe », il faut bien reconnaître que Harlem Désir a fait très, très fort cette semaine, avec le coup du pain au chocolat…
On sait bien qu’il vaut mieux entendre entendre « ça » que d’être sourd, mais qu’on entende et qu’on lise, dans la presse, qu’Harlem Désir a osé écrire le tweet suivant : « …Le congrès UMP n’excuse pas de brader cyniquement toute dignité républicaine… » on se dit que, là, le Harlem/Jean-Philippe, il est très fort. Et que, accessoirement, il nous prend vraiment pour des demeurés. Merci Jean-Phi ! Pardon, merci Harlem !…
Un condamné, nommé à la tête du PS, c’était déjà pas mal. Qu’il se mette à jouer les père-la-vertu, c’est de mieux en mieux : à quand Michel Fourniret faisant la tournée des collèges et lycées, pour expliquer aux ados que, violer, c’est très mal ? Après tout, comme dirait l’autre, quand les bornes sont franchies, il n’y a plus de limites !…
P.S. (c’est le cas de le dire !…), Rappel des faits : Entre 1986 et 1987, alors qu’il est président de l’association SOS Racisme, Harlem Désir perçoit 10.500 francs par mois d’une autre association, l’Association régionale pour la formation et l’éducation des migrants, basée à Lille. Cet emploi fictif lui vaut une condamnation, le 17 décembre 1998, à 18 mois de prison avec sursis et 30.000 francs d’amende pour recel d’abus de bien sociaux
A la tête du PS, « un condamné nommé Désir » !…
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