Le lundi 17 mars, parce que le magazine avait annoncé à la Une, avec une photo la montrant en larmes, qu’elle était « brisée » et prête « à tout arrêter », la chanteuse (?!) Diam’s à déboulé, furieuse, dans les locaux de « Voici » où elle a piqué une grosse colère.
Elle aurait fait preuve d’une grande violence, s’en prenant physiquement à un membre de la rédaction…
Il est bien évident que nous nous fichons bien pas mal et des aventures du périodique « Voici » et des aventures de la demoiselle Diam’s. Ce qui retient notre attention dans ce fait divers -assez pitoyable par ailleurs…- c’est la comparaison que l’on peut faire avec ce qui s’était passé il y a peu avec Bartabas. Parce qu’il n’avait pas obtenu une subvention qu’il demandait – ou qu’elle n’avait pas été augmentée, peu importe… – il avait tout cassé dans les locaux de la Direction qui n’avait pas répondu assez favorablement selon lui à sa demande ! Il avait entre autres détruit plusieurs ordinateurs, et jeté des chaises à la tête de l’administrateur !…
Alain Finkielkraut, interrogé par Nicolas Demorand, avait immédiatement réagi à ce fait, sur France Inter, en expliquant que l’on se trouvait engagé, avec de tels agissements, dans un processus de « dé-civilisation »...
Bien sûr, chacun dans son registre, Bartabas et Diam’s ne se privaient pas, « avant » leur esclandre respectif, de donner des leçons à la terre entière, et de prétendre incarner une sorte de nouvelle culture, de nouvelle tendance… bref tout à l’opposé de l’horrible « franchouillard » dans lequel nous gémissions, avant leur apparition…Mais, « chassez le naturel… »
Grégoire Legrand sur Repris des réseaux sociaux qui ne…
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