Hollande ! Ô désespoir, Ô stupide énarchie !
N’avons-nous tant voté que pour cette infamie ?
Et ne sommes nous blanchis à tant et tant œuvrer
Que pour voir en dix mois fleurir tant d’insuccès ?
Nos cœurs qu’avec ardeur faisons battre « français »,
Nos cœurs sont las de vous et de tous vos compères.
Blessés, trahis, usés, l’ambiance est délétère ;
Une affaire survient et fait tout exploser.
Ô cruel souvenir d’une gloire passée,
Œuvre de tant d’histoire décimée le 6 mai !
Nouvelle hiérarchie fatale à nos espoirs,
Précipice abyssal où nous allons tous choir.
Faut il, par votre faute, voir ce pays crever
Et souffrir sans un mot ou souffrir de dégoût ?
Hollande ! Il est grand temps de redonner à tout,
Une plus grande exigence et un plus grand projet.
Président, la fonction n‘admet point d’à peu près.
Et les faux pas nombreux que vous accumulez
Les erreurs, les mensonges et cette suffisance
Font déborder la coupe de notre tolérance.
Le moment est venu où tout peut basculer
Évite la débâcle, sauvegarde la paix.
Va, quitte donc l’Élysée, en voiture ou en train,
Et laisse le pouvoir en de meilleures mains.
Le quotidien royaliste sur la toile
Anne sur Journal de l’année 14 de Jacques…
“Très beau commentaire en vérité. Je suis d’ailleurs persuadée que Bainville vous approuverait !”