A dire vrai, Gérard Leclerc nous avait tenus informés des conséquences malheureuses que la surcharge de travail, dûe au déménagement de la Nar, avait occasionnée chez notre ami à tous, Yvan Aumont. La décence nous interdisait d’en parler – autrement qu’entre nous… – avant que la Nar elle-même ne l’annonçât publiquement : voici que le numéro 1040 de Royaliste apprend à tous « l’accident de santé » d’Yvan, survenu le 21 août. Aux messages et aux voeux des amis qui lui sont transmis quotidiennement, nous joignons évidemment les nôtres, cette fois publiquement, et assurons Yvan et ses amis que, en ces moments pénibles, nous sommes tout naturellement, et de tout coeur, à leur côté…
7 commentaires pour “Nous pensons à notre ami, Yvan Aumont…”
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TOUS MES VOEUX DE RETABLISSEMENT A YVAN
DE LA PART D’UN VIEUX COPAIN
JEOUDRAIS M’ABONNER A CE JOURNAL INTERNET
KOMENT K’ON FAT STP ,
La NAR est ce grand escalier en colimaçon qui noue emenais tous les mercredis au sommet de la pensée politique décomplexée ! Ha que de souvenirs j’ai dans ma tête de ce grand bonhome qui a tout sacrifié à ses idées ! Comme lui, je suis devenu un petit vieux industrieux, aux cheveux blancs claisemés par une calvitie dont je me fou pas mal !
On se répartissait d’ailleurs assez bien les rôles d’ailleurs :
– a lui celui de l’organisateur,
-à moi celui de la mouche du coche !
A cet ami cher, fidèle et talentueux et discret (qui n’a jamais répété a Bertrant tout le mal que je pensais de lui) tous mes voeux de rétablissement prompt !
Je l’embrasse chaleureusement,
PIERRE-HENRI CANNEBOTIN
ancien casse-pied,
etc, etc, etc,
mais toujours royaliste !
Vive LE ROI !
Tous mes vœux de prompt rétablissement.
Tous mes voeux de prompt rétablissement à monsieur
Aumont.
Je n’ai pas le plaisir de vous connaitre personnellement, mais je m’associe à tous vos amis pour vous souhaiter de reprendre rapidement la vie et toutes les joies que celle-ci nous procure !
Tous mes voeux de rétablissement à cette grande figure du royalisme,aux grandes qualités humaines.
Yvan Aumont, mon premier sous-chef de Camp MRDS en 65 à Étrie, puis en 66 à Sauveterre. Une longue silhouette, un visage toujours ouvert, avec un sourire narquois sans la moindre méchanceté. Un type qu’on savait, qu’on percevait solide, courageux, disponible.
Je n’ai pas suivi (ou à peine) l’aventure de la NAF, même si j’ai un peu oscillé un temps entre la rue Croix des Petits Champs et la rue des petits Champs tout court. Mais à chaque fois que je le revoyais, les 21 janvier, par exemple, c’était une belle franche poignée de main
Le savoir affaibli me navre et me désole.
Très bons souhaits de rétablissement si tu me lis, Yvan !