A l’occasion de la Journée de la femme, la seconde dame de France exhibe dans un clip de Lisa Azuelos son mépris des Français et des catholiques en particulier.
Prétendant dénoncer les mariages forcés, Julie Gayet apparaît sur scène en marâtre BCBG qui offre sa fille – jeune collégienne vêtue en première communiante – à un barbon libidineux ! Un tableau de l’Ascension sert de toile de fond à ce court métrage…
Alors que le mariage forcé est une pratique extra-européenne particulièrement répandue dans le Sud-Est asiatique, la Turquie, le Maghreb et en Afrique subsaharienne —« importée » chez nous par les communautés immigrées non-chrétiennes—, il est scandaleux que ce soit une famille française et catholique qui serve d’illustration pour incarner cette pratique barbare.
La petite musique de Julie Gayet est néanmoins en parfaite harmonie avec les élucubrations de la porte-parole du gouvernement : « Le mariage forcé ne concerne pas que les sociétés musulmanes, il peut concerner des sociétés catholiques. Il faut arrêter la stigmatisation. »
Vous avez dit « stigmatisation » ?
Ce clip est le comble de l’ignominie et de l’hypocrisie. Il ne vise qu’à détourner l’attention du véritable problème que sont les mariages forcés dans les communautés « exogènes » et comme par hasard musulmanes implantées dans notre pays contre la volonté des citoyens. Une nouvelle preuve de la complaisance dont elles bénéficient en haut lieu et de l’acharnement mis à faire disparaitre notre civilisation. En d’autres temps, nos dirigeants seraient passibles du crime de haute trahison.
Mais on notera qu’il ne s’agit là « que » d’un mariage civil. Au point où il en est, on n’en est plus à une mascarade près !
Ce qui n’interdit pas de dénoncer haut et fort la forfaiture de ce clip.