Non, Emmanuel Macron, les violences systémiques dont la France souffre, ce ne sont pas des « faits divers », mais les conséquences d’une politique, celle du Régime !

Il faut vraiment un singulier toupet ou une dose incommensurable d’inconscience, ou encore d’impudence, pour appeler « faits divers » les violences, les agressions, les assassinats quasi quotidiens que la France et les Français subissent actuellement à raison de la politique d’un régime qui a conduit en quelques décennies, au délitement avancé, politique et social, de la société nationale, ravagée par la fracturation sociale, le déconstructivisme gauchiste totalitaire dominant, la mise en accusation de l’héritage national multiséculaire, ou même sa négation, le choc migratoire – d’une ampleur inédite, etc.  

Les faits divers, confiés, naguère, dans la presse, aux, journalistes médiocres ou débutants, s’appelaient aussi trivialement, les chiens écrasés.  Sans grand lien entre eux, ils parsèment la vie de toute société humaine. Est-ce à cela que nous avons affaire, aujourd’hui ? Ou à une crise globale, systémique, existentielle, formant un tout solidaire, qui peut tuer la Nation ? Emmanuel Macron, si grande soit l’intelligence qu’on lui attribue, sait-il ce que parler veut dire ? Ou veut-il simplement endormir son monde ?

Ce propos hors de toute réalité lancé hier à Martel, dans le Lot, au cœur de la France profonde, par Emmanuel Macron,  est indigne du dialogue permanent qui devrait être noué entre les Français et le Chef de l’ État, homme de la Nation, qu’il soit Roi, Empereur, ou simplement Président de la République. Nous qualifions ledit propos simplement d’indigne, inconscient et scandaleux, sans avoir aucunement le sentiment de verser dans l’exagération. Laquelle comme chacun sait depuis Talleyrand, est toujours insignifiante. En l’occurrence, c’est, nous semble-t-il, plutôt Emmanuel Macron qui en a dépassé les bornes. G.P.