Par Jean de Maistre.
Il ne s’agit bien entendu ni d’approuver ni de justifier cette claque donnée à Macron.
Mais pour qu’il y eût outrage au Chef de l’État, il eût fallu qu’il y eût un Chef et un État, or je n’en vois point.
Juste un petit banquier au service des donneurs d’ordre de Bruxelles et de ses maîtres les financiers et les milliardaires.
Macron n’a pas cessé d’insulter la fonction de Chef de l’État, en se faisant photographier avec des petits voyous lors d’un voyage dans les Dom-Tom, en invitant un groupe « musical » composé de bougres à l’Elysée, en se pavanant avec des guignols d’amuseurs publics. N’a pas la dignité de Chef de l’État qui veut.
Macron n’a jamais perdu une occasion d’insulter la France à l’étranger en l’accusant de crimes contre l’humanité. C’est un homme qui n’aime ni son pays ni ses habitants.
Non décidément il n’est pas un Chef d’État, juste un enfant qui joue avec le pouvoir pour abaisser la France. Quand on pense que certains se sont laissés avoir par sa prétendue « attitude monarchique » …
Commentaire de
Tout à fait d’accord. Le président se l’est un peu cherchée.
Mais tout cela pourrait être monté et piloté pour faire passer les Royalistes pour extrémistes et violents.
Il vont avoir l’excuse d’em… béter les Cathos, les Roycos et les Camelots.
C’est dans l’air depuis la multiplication des perquisitions d’abbayes traditionalistes dans l’affaire de Xavier Dupont de Ligonès. Et puis il y a eu l’arrestation de Rémy Daillet. La procession attaquée en plein Paris par la racaille antifa a fini par me convaincre qu’il y a anguille sous roche.
D’ailleurs Jean Castex appelle à un sursaut républicain.
Il est à craindre d’autres « petites misères » jusqu’aux présidentielles de 2022…
Ils pourraient utilise la gifle présidentielle pour tenter de nous intimider, de nous censurer, d’appeler au boycott.
@ Hervé Volto. Pas trop de cingleries svp ! Les types qui ont organisé la « gifle à Macron » n’ont pas agi dur commande l’Élysée. Après, dire que le Pouvoir utilise au mieux l’événement à son profit, c’est l’enfance de l’Art et c’est enfoncer des portes ouvertes. Que le gouvernement soit ravi de mettre en avant un « terrorisme d’extrême-droite » c’est aussi une évidence. Raison de plus pour ne pas l’attaquer avec des procédés trop grossièrement ficelés. Ne pas lui servir ce qu’il veut. L’attaquer, donc, de façon peu attaquable ! Avec le sens de l’action la plus productive. L’AF a souvent su faire cela.