Nous avons déjà donné une version de cet hymne du Midi, chanté par 500 choristes place du Capitole à Toulouse. Cherchez dans documents vidéo et vous trouverez !
En voici une autre un peu différente, qui, elle aussi, enflamme toute une foule qui aime, connaît, reprend ce chant si souvent entonné dans le Midi avec joie et émotion.
Nous avons écouté et nous mettrons en ligne un jour prochain une vidéo qui montre comment La Coupo Santo a même enflammé le Vélodrome, à Marseille, un soir de match. La Coupo chantée dans un certain désordre par une jeunesse enthousiaste mêlant racines et sport.
Ainsi, la culture populaire, la mémoire des traditions et des racines, est-elle un élément de résistance à ce qui viendrait corrompre et soumettre nos existences françaises à des mœurs et des masses venues d’ailleurs !
merci et bravo!
Oui : beau chant et c’est une bonne initiative de JSF de passer des séquences provinciales . Quand ce que l’on appelle le folklore aura disparu , c’est bien une partie de l’identité du pays , sa bonhomie en fait , qui s’en sera allée .
L’on peut comprendre , puisque ça va vers la fin , que ces dialectes , ces musiques , voire ces prononciations , hors de leur site ou de leur contexte , peuvent agacer : le son du binou en dehors des « Fest- noz » , l’ accent (difficile à corriger) du Sud-Ouest et cetera ; il n’en demeure pas moins que ce qui remplace est moins sympathique : grâce aux journalistes de la TV on peut, certes , entendre la bonne tonalité dans tous les territoires (Apathie et le « Marseillais »de Cniouz faisant exceptions) mais il y a également le franglais , l’abus de sigles parfois incompris , « chacun et chacune »qui s’ impose ; sans parler du « couscous », des « kebabs » et des souks lesquels on commence à voir un peu partout . Ne parlons pas des musiques considérées comme « du bruit » : il en a toujours été ainsi (le « jazz » était qualifié de « musique de montreurs d’ours »par les anciens après l’arrivée des américains ). Il suffit de ne pas écouter .