Cliquez sur le lien suivant, et vous ne serez pas déçus : http://islam-et-verite.com/home/index.php
Après vous avoir souhaité un sobre « Bienvenue cher(e) ami(e).. », la page d’accueil donne le ton général :
« Ce site est destiné à ceux et celles qui se posent des questions et cherchent la Vérité, car elle existe et elle est unique.
Ceux qui connaissent un peu l’islam savent que la doctrine est complètement différente de celle du christianisme, et que l’islam est venu 7 siècles après Jésus Christ et les premiers chrétiens pour s’opposer aux 3 principaux dogmes chrétiens que sont: l’Incarnation, la Rédemption, et la sainte Trinité.
Vous pourrez à travers ce site trouver diverses informations concernant la foi chrétienne et la foi musulmane, afin que vous puissiez connaitre cette Vérité qui ne s’impose pas à l’homme mais plutôt qui respect la liberté de chaque homme…. »
Bon voyage sur ce site…..
Je livre à votre réflexion un extrait du livre de Guy Rachet : La Bible, mythe et réalités (ed du Rocher).
« Dans l’antiquité gréco-romaine, où n’avait pas été fait l’amalgame catastrophique entre l’hétique et la croyance religieuse, on connaissait toutes les possibilités de comportement moral, ce qui allait de l’hédonisme et de l’épicurisme à l’ascétisme des cyniques. Ainsi pouvait-on s’imposer une morale sans faire intervenir une quelconque divinité: lorsqu’ils parlent d’éthique, aussi bien Aristote qu’Epicure, Epictète que Sénèque, ne font jamais intervenir un dieu, ils s’expriment au nom de l’homme et de la sagesse dont l’essence est purement humaine et nullement divine, n’en déplaise aux sagesses bibliques, car encore faudrait-il qu’il existât un Dieu qui se souciât d’inspirer non Sa Sagesse mais des sagesses, car je ne sache pas que le dieu des monotheistes ait jamais inspiré Socrate ou Boudha, Confucius ou Lao-Tseu, dont les sagesses sont tout aussi valables que celles des juifs des chrétiens et des musulmans et ne sont pas dominées par ce concept tyrannique qui est comme un leitmotiv dans l’Ancien Testament et le Coran: la crainte de Dieu, ce qui en fin de compte réduit ces morales à une obeissance passive fondée sur la peur du père fouettard, ce qui manifeste un superbe mépris de l’homme et de ses capacités de réflexion. »