Par Jean de Maistre
Il est sûr que l’immigration coûte très cher à notre pays, mais on ne peut réduire ce problème à sa dimension économique ou financière.
L’immigration ne coûterait-elle rien, ou enrichirait-elle notre pays qu’elle serait encore néfaste et dangereuse, pour des raisons culturelles et civilisationnelles.
Nous laissons s’installer sur notre sol une idéologie théologico-politique totalitaire, l’islam, et à ce propos je garde toujours en mémoire les paroles du poète kabyle Ferhat Mehenni : » L’islam, c’est l’islamisme au repos, et l’islamisme, c’est l’islam en mouvement. C’est une seule et même affaire. L’un et l’autre se réclament d’un seul et même Coran. »
Un sondage de l’Institut Montaigne révélait que 25 % des musulmans en France jugeaient que la charia devait prévaloir sur les lois de la Cité et ce pourcentage s’élevait à 35 chez les 18/25 ans. Il faut que ce soit un écrivain algérien, Boualem Sansal, qui nous alerte et dénonce notre aveuglement en parlant de l’installation en France d’une multitude de petites républiques islamiques.
Nous entrons dans une logique de partition territoriale, acceptée par les autorités comme le montraient ces récentes consignes données par un haut responsable de la police, de ne pas faire de contrôle de confinement dans les zones où on pratique majoritairement le ramadan, etc.
Les remarques que je peux faire n’ont rien à voir avec du racisme et j’ai la plus grande sympathie pour les arabes chrétiens (persécutés en permanence en terre d’islam) et même athées ou agnostiques, et l’islam, pour autant que je le sache n’est pas une race.
Les transformations civilisationnelles causées par l’immigration de masse arabo-musulmane et africaine crèvent les yeux et nous ne sommes certainement qu’au début d’un processus catastrophique, d’autant plus que dans cette immigration se manifestent de plus en plus une indifférence à l’égard de notre pays, un refus de s’intégrer et à plus forte raison de s’assimiler et même une haine à l’égard des Français, comme le savent tous ceux qui scrutent cet égout que sont les réseaux sociaux et sur lesquels se déversent un racisme anti-blanc totalement décomplexé.
Haine de la France, de sa culture et de son histoire qui se manifeste par exemple dans les milieux » décoloniaux » et » racisés » qui partent à la conquête de l’université. Alors une fois de plus, l’immigration enrichirait-elle la France qu’elle serait condamnable.
Dépêchons-nous de dire ces vérités avant que la loi Avia, digne de la Corée du Nord ou de la Chine communiste ne nous interdise de le faire. ■
Je ne crois pas à une guerre civile en France, je ne crois pas non plus à une islamisation de la France. Je constate d’une part l’intégration dans le monde du travail, y compris dans ses strates supérieures, d’enfants d’immigrés, d’autre part le résultat du travail de nos institutions laïques (éducation nationale, services sociaux, justice), qui provoque une désaffection à l’égard de l’islam. Par ailleurs, bien des immigrés ne sont pas musulmans. Le drame de l’immigration est ailleurs: une substitution de population. L’âme de la France disparaît, faute de gens pour la transmettre. Je souffre lorsque je vois notre patrimoine public et privé devenir la chose de gens dont les ancêtres ne l’ont pas bâti. Mais nous voyons là le résultat des efforts des loges, de la juiverie et de la gauche en général.
La nature ayant horreur du vide, la place laissée presque vide par la population française d’origine, du fait de l’avortement, offre un boulevard aux immigrés.
Souvent les familles d’un ou 2 enfants , avec un mari au TRAVAIL se comportent mieux, tandis que les familles nombreuses, couveuses de chômeurs, occupent la rubrique faits divers, délinquance des journaux
C’est fort juste de relever que le problème est d’avantage celui de la substitution de population que celui de l ‘ Islam . Les institutions » laïques » aboutissant bien à modifier la façon de s’exprimer , de raisonner ( sans vouloir juger ici du bien – fondé ou du dommageable ) ; certains étant , du reste en voie d’ascension sociale.
N’ était le prénom , le patronyme ou le type , lorsque le milieu professionnel met en relation par l ‘ écrit ou le discours avec ceux ci , on se surprend parfois d’ être » sur la même longueur d’ onde » .
Il dépend de nous que l’intégration d’immigrés soit réussie, mais aussi du fait qu’il ne doit avoir d’arrivée massive, qui empêche par le fait l’intégration et au moins la rend difficile. Plus il y a de nouveau à intégrer, plus c’est difficile. Il faut surtout, et cela dépend de nous, qu’ils aient envie de s’intégrer, que la France leur paraisse le meilleur pays du monde, pas en termes économiques, mais en gloire, en fierté; ensuite que nous les soustrayons aux influences anti-françaises et en premier lieu ceux qui défendent des conceptions qui sont contraires à nos traditions, à notre histoire. Nous devons la vérité à ceux qui viennent chez nous, en nos croyances , y compris religieuses, ou la possibilité de l’absence de croyances religieuses.
L’islam n’est pas une race, il y a des musulmans blancs, jaunes et noirs, avec toutes les nuances entre eux, comme des français; mais nous sommes une nation, ce que n’est pas l’islam, dans le meilleur cas il se veut un communauté, l’Oumma, qui est aussi divisée que les anciens gaulois. Heureusement les rois ont fait notre unité, ce que n’a jamais réussi le califat.
Cela dit et sans contrainte, les musulmans qui sont ou deviennent français ont vocation à devenir chrétiens, sachons les accueillir dans nos lieux de culte, pour les catholiques nos églises. Prions l’Esprit Saint en cette période de Pentecôte pour qu’Il descende sur eux.