La voiture des voyous, après avoir forcé un barrage, fonce sur eux. Un gendarme tire : il est mis en garde à vue pendant quarante huit heures, puis une information pour violences est requise contre lui à l’issue de cette garde à vue !
Il a été déféré le dimanche 30 novembre : « L’ouverture d’une information est requise, du chef de violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner, par personne dépositaire de l’autorité publique, avec usage d’une arme », a dit le procureur de Senlis.
1) Les faits : Le vendredi 28 novembre, peu avant 5h, à Chantilly, des malfaiteurs se sont retrouvés nez à nez avec une patrouille de gendarmes; coincés par d’autres militaires qui les pourchassaient, ils ont alors tenté de forcer le barrage, et ont « foncé en marche arrière » sur le gendarme, d’où les coups de feu qu’il a tirés.
Les occupants de la voiture ont ensuite roulé vers la caserne de pompiers de Montataire, où ils ont déposé le corps d’un jeune homme, semble-t-il blessé grièvement par une balle qui aurait ricoché sur une omoplate avant de toucher le coeur. Un peu plus tard, la voiture a été retrouvée brûlée, avec deux impacts de balle sur le coffre et le côté droit, à Nogent-Sur-Oise, près de Montataire.
2) Notre commentaire : Entre les voyous et les gendarmes, il faut choisir. Le Pays Légal vient de choisir une fois de plus, et d’envoyer une fois de plus un signal fort à la délinquance en tous genres et aux délinquants de tous ordres : vous pouvez foncer sur les gendarmes pour les écraser, ne vous gênez surtout pas: s’ils osent se défendre, on les mettra en garde à vue puis en examen.
Vous, délinquants, avez tous les droits, eux, forces de l’ordre n’en ont aucun; ou plutôt ils en ont un seul : celui de se faire tuer par vous, et gare à eux s’ils essayent de se défendre…..
Franchement, une Société pourra-t-elle fonctionner longtemps dans ces conditions, et avec de telles pratiques aberrantes (et on reste polis…)
Pour nous c’est clair : nous préférons les gendarmes aux voyous, et si nous préferons qu’il n’y ait pas de violences, et pas de coups de feu tirés, et pas de morts, il n’en demeure pas moins que s’il doit malheureusement y avoir violences et coups de feus et mort(s), nous préférons quand ce sont les gendarmes qui tirent les premiers, et quand ce sont les voyous qui trinquent.
Ce sont les risques du métier, ils ont choisi cette voie, on ne les y a pas forcés. On va être cruels, peut-être, mais francs, au moins : c’est un accident du travail…
Solidarité avec le gendarme de l’Oise !….
Entièrement d’accord;il faut éradiquer la délinquance et encourager nos gendarmes.
C’est curieux ce bonheur que prennent certains magistrats ou homme politique pour se montrer compréhensifs, doux et aimables de coeur pour la vermine ! Mais cela est en général bon lorsque c’est pour les autres ! Souvenez-vous lorsque la fille de Badinter a disparu ; le ministre de la Justice-lui donc- a fait envoyer deux compagnies de gendarmes pour la retrouver ; on a vu ces parents inquiets ; pour une disparition habituelle il faut des heures pour déclencher des recherches ; là ce fut tout de suite ! Ils l’ont retrouvé, elle n’était pas morte, elle était en train de revivre dans les bras d’un amant . Le père-ministre a dit son soulagement, il n’a rien compris pour les gens ordinaires, c’est ça l’élite.