À noter que nous ne prenons pas parti dans les débats sanitaires en matière proprement médicale. Trop de journalistes et même de particuliers s’improvisent spécialistes de ces sujets complexes, alors que leur compétence est pour le moins contestable. S’en suivent des palabres répétées à l’infini en termes identiques lesquels remplissent des journées entières sur les chaînes de télévision. Nous préférons nous en tenir à réfléchir sur les causes et conséquences politiques et sociales du phénomène pandémique. On nous objectera les querelles entre scientifiques. Il y en a toujours eu et l’on nous permettra peut-être, malgré les passions, de penser qu’elles sont d’un autre ordre.
Restent les soubresauts et les réactions de l’opinion et de ceux qui la font. Le « coup de gueule » de David Pujadas sur LCI est, à cet égard, intéressant à connaître. Raison pour laquelle nous proposons cette vidéo détonante aux lecteurs de JSF
Présentation de la vidéo sur bon nombre de médias en ligne…
Nous sommes jeudi 30 décembre 2021 et le journaliste de LCI a décidé de s’attaquer frontalement au tsunami Omicron, afin de montrer aux téléspectateurs qu’il n’est en réalité qu’un mirage. Les arguments sont là, les chiffres, les preuves et face à ce constat sans appel, David Pujadas commence par cette phrase « l’Apocalypse Omicron, alors je dis Apocalypse, parce que c’est couramment admis. On ne peut pas dire Omicron sans dire tsunami, raz-de-marée, la falaise, le mur qui va tous nous ensevelir. C’est ce qu’on entend dans les médias. C’est ce qu’on entend chez les médecins. Vous lisez dans la presse, vous l’entendez à la radio, vous le voyez à la télévision. Bref, la peur, l’inquiétude. »
Bof !!!
Je crois qu’il faut savoir raison garder et que chacun reste à sa place !
Que les professeurs enseignent
Que les médecins soignent
Que les journalistes fassent un vrai travail de presse
Que les politiciens s’occupent du Bien Commun
Et les vaches seront bien gardées.
Le « variant » Omicron, c’est un simple rhume !
Mais il y a des millions de doses de « vaccins » à fourguer, parce qu’elles vont être périmées..