Voulez-vous lire un article du Monde où tout le vocabulaire, toutes les ficelles, toute la crapulerie de toutes les basses propagandes de la planète et de l’Histoire, de l’espace et du temps, se retrouvent réunies. Le rappel des heures sombres, staliniennes ou nazies, les voilà bien dans cet article qui suinte la médiocrité et la langue de bois. C’est à lire. C’est un archétype ! Vous trouverez les mêmes mots, formules, ficelles et astuces sur Libé, à France Inter, BFM, LCI et sur la moindre feuille de choux régionale formatée de cette sorte. C’est ainsi que la Démocratie se construit, progresse, éclaire le monde. Alain Minc et Jacques Attali y veillent. Et au-delà Mark Zuckerberg. Ben voyons !
Présidentielle 2022 : une promesse de parrainage pour Eric Zemmour crée le trouble dans une mairie du Médoc
En annonçant qu’il appuierait la candidature du polémiste d’extrême droite, le maire sans étiquette de Salaunes, Jérôme Pardes, a suscité la colère des conseillers municipaux.
Il a étrangement ajouté : « Ceux qui me connaissent savent bien que je ne suis pas un extrémiste de droite, encore moins un fasciste, un homophobe, un antisémite, un misogyne, ou encore un intégriste (…) Simplement j’aime mon pays, et je n’accepte pas de le voir se dissoudre dans une mondialisation délirante. » Jérôme Pardes, 58 ans, explique avoir rencontré le polémiste avec une dizaine de maires de la région, et l’avoir trouvé « sympathique, ouvert à la discussion et très à l’écoute des problématiques de terrain ».
Communiqué des élus municipaux
Il a eu beau assurer qu’il s’agissait d’une décision « strictement personnelle », qui n’engageait « ni [son] conseil municipal ni [ses] administrés », l’affaire a fait des vagues à la mairie. Neuf élus de la majorité et deux de l’opposition, rapporte Sud Ouest, ont signé un communiqué où ils rappellent qu’ils ont été élus sur des listes sans étiquette. Ils entendent « être représentés par la réussite de leurs chantiers et non par des partis politiques », et assurent « respecter la liberté d’expression de chacun » mais sans cautionner « la forme choisie par Jérôme Pardes à travers ce parrainage ».
Des conseillers municipaux se sont dits prêts à démissionner, ou à obliger le maire à rendre son écharpe : pour calmer le jeu, Jérôme Pardes a réuni tous les élus à huis clos, mardi 11 janvier, et personne n’a finalement abandonné son mandat. L’élu est passé en mairie, mercredi matin, et a simplement déclaré : « Vous avez vu, je suis toujours vivant. »
Le Monde … je dirais plutôt le gratuit du métro …
Journaleux de pacotille !!
Ce journal qui faisait référence lorsqu’on étudiait, lorsqu’on préparait nos concours administratifs, lorsqu’on voulait une fine analyse objective … ce journal est devenu un torchon idéologique, wokiste, propagandiste…
Habitant en Gironde, j’ai été abonné très longtemps au journal « Sud Ouest ».
J’ai lu ce type d’article un très grand nombre de fois avec toujours le même scénario : le méchant commet une mauvaise action, le chœur du camp du bien prévient le Peuple de cette mauvaise action, le méchant fait acte de repentance.
Cela a constitué une des raisons de la résiliation de mon abonnement car je n’en pouvais plus de ce que, plus tard, j’ai appelé : « le journalisme fils de pute »