On continuera encore un certain temps à pérorer sur le succès technique de l’ouverture des Jeux Olympiques. Dans la mémoire française restera l’odieuse évocation du supplice infligé à la Reine.
On n’oubliera jamais, en effet, l’horreur du supplice infligé à la reine Marie-Antoinette jusqu’à la mort, sous diverses formes physiques et morales, par une petite minorité de Français sanguinaires en proie eux-mêmes à toutes sortes de perversions, comme le sont ceux qui ont imaginé en équipe d’évoquer ces horribles circonstances sous les formes de la …
