23 août 1914 … Léon Daudet : Je vis dans une mortelle angoisse en attendant l’issue de la bataille
D’une lettre à Léon Daudet : « …Pour tout vous dire, mon cher ami, je vis dans une mortelle angoisse en attendant l’issue de la bataille. Nous avons eu raison sur tant de points que j’ai peur que nous n’ayons raison jusqu’au bout, – et ce bout je n’ose même pas écrire le nom qu’il porte …
JSF sur La jeunesse d’Europe – et pas…
“Voilà, cher Marc Vergier, un rappel qui ne tombera pas dans l’oreille d’un sourd.”