Et une pierre de plus – et d’importance !… – apportée au processus de dé-révolution !
Ce lundi 7 mars, à 7h58, Philippe Meyer consacre sa chronique à Jacques Bainville. Elle est élogieuse. Elle est surtout un très sérieux coup de canif à cette conspiration du silence entretenue par le Système contre tout ce qui vient du seul mouvement d’idée vraiment dangereux pour lui : le nôtre, parce qu’il remet en cause les fondements même du Système, et non son fonctionnement ou le choix de son personnel. « Pendant longtemps, une grande pudeur universitaire – c’est une litote – enveloppa les livres de Bainville d’un linceul qu’il ne faisait pas bon de lever, si l’on voulait faire carrière… » dit Philippe Meyer :
En dehors de l’estime que porte Philippe Meyer à Jacques Bainville, cette chronique est motivée – on l’a entendu… – par le fait que Christophe Dickès, dans la collection Bouquins, publie courant mars, chez Laffont, La monarchie des Lettres, ouvrage composé de quatre parties, qui illustre les différentes facettes de l’académicien Jacques Bainville. La première revient sur son parcours d’historien et ses publications dans de nombreux journaux, les deux suivantes le montrent dans une posture d’écrivain et de conteur au gré de ses voyages. Enfin, la dernière situe l’homme dans son époque, celle de l’affaire Dreyfus.
1152 pages, 30 euros
Lire la suiteLundi 7 mars, sur France Culture : l’éloge de Bainville, par Philippe Meyer…
Cording1 sur Ce crime impuni, contre l’honneur paysan
“Le monde paysan selon Gustave Thibon est mort depuis longtemps. Les paysans sont plus entrepreneurs de…”