Jean-Michel QUATREPOINT, dans la récente conférence qu’il a donnée à l’IHEDN (1), brosse un tableau, empreint d’un grand réalisme, de la mondialisation et de ses effets sur l’Europe et sur le monde. Il y insiste, beaucoup sur l’importance des déséquilibres des balances commerciales in et hors zone Euro, lequel se fait essentiellement au …
Enregistré lors du Café Actualité de lafautearousseau, à Marseille, samedi 5 novembre 2011 (Sur la vidéo : François DAVIN, Antoine de Crémiers et Hilaire de Crémiers.
Hervé Juvin préside des Sociétés qui font de lui un acteur important du système économique – qu’il connaît donc bien et dont, pourtant, il fait une critique sans concession, allant bien au delà du seul débat économique. Qu’on en juge par ces lignes fondatrices lues sur son blog : « L’économisme et ses corollaires, management, conformité, ratios et ratings, …
Enregistré lors du Café Actualité de lafautearousseau, à Marseille, samedi 8 octobre 2011 (Sur cette vue : François DAVIN, Gérard LECLERC et Jean GUGLIOTTA, président de la Fédération Royaliste Provençale).
Voici un document d’archive qui, comme tant d’autres, peut, et doit, nous servir de guide aujourd’hui, du moins en ce qui concerne Maurras, sa personne, la façon de l’aborder etc…
Il s’agit de l’émission d’Apostrophes du 31 janvier 1981. Ce soir-là, Bernard Pivot a réuni quatre personnalités fortes, autour du thème La politique, un art du cynisme ? Il y a là Alfred Grosser, Jean-Paul Jouary et André Glicksmann, qui vont écouter le quatrième, Pierre Boutang, qui démarre très fort…
Il faut dire que Boutang est invité pour parle de son La Fontaine politique, et que Pivot lui dit qu’il y a de la provocation à ouvrir un livre pareil en parlant de la Lettre-préface de Charles Maurras.
Boutang en profite pour dire, tout simplement comment on doit, et on peut, parler de Maurras aujourd’hui….
La politique, un art du cynisme ? Apostrophes – 30/10/1981 – 01h15min26s
On l’avait « laissé passer » : le site du Craf a présenté cet extrait de Marie-France Garaud, qui intervient le 13 décembre 2010 dans l’émission de Frédéric Taddeï au sujet de l’idéologie première de l’Euro, Deutschmark déguisé. Les rapports France-Allemagne et les ambitions souveraines de celle-ci, les abandons successifs de souveraineté consentis par le …
Le mercredi 13 avril, France Ô a organisé un débat sur le thème de la violence à l’Ecole. Malheureusement diffusée un peu tard (23 heures) comme tant d’autres émissions intéressantes, celle-ci peut néammoins être visionnée sur le site de la chaîne depuis le 14 avril. Elle est d’une durée de 54’37 »
Ont participé à cette émission Olivia Millioz, directrice de communication de SOS Éducation ainsi que Georges Fotinos, ancien inspecteur général et administrateur de l’UNICEF, membre de l’Observatoire international de la violence à l’école, Michel Fize, sociologue et chercheur au CNRS, et Patrick Gonthier, secrétaire général d’UNSA-Education….
C’est un pur joyau que nous vous livrons ici. La « malle au trésor » du blog se remplit… Profitez-en.
Ceux qui feront l’effort de regarder – et surtout d’écouter – les 6 vidéos ci-dessous en tireront de grandes joies de l’esprit.
Il s’agit d’un dîner-débat de très grande qualité, organisé il y a maintenant vingt-sept ans par l’Union Royaliste Provençale, le 15 avril 1982, à Marseille, entre Gustave Thibon et Alain de Benoist. Débat brillant où les deux intervenants font l’une et l’autre preuve de l’esprit le plus ouvert et, malgré leurs différences – et même leurs oppositions – d’un sens du dialogue qui, pourtant, pour l’un comme pour l’autre, ne cède rien à la recherche de la – ou, au moins, d’une – vérité.
La qualité des enregistrements est détestable. Souvent, il faut tendre l’oreille. Ce sont aujourd’hui des documents d’archive. Mais l’on s’apercevra vite que le fond du débat magistralement nourri par l’immense culture et le grand talent de Gustave Thibon et d’Alain de Benoist, reste, en bien des points essentiels, d’une brûlante actualité.
Coup sur coup, le 27 janvier et le 4 février, nous avons pu relever la très intéressante évolution d’Edgar Morin : au micro de France inter, d’abord, le 27 janvier dernier (où il n’a pas hésité à citer Maurras…); puis, sur Public Sénat/Bibliothèque Médicis, cette fois, où il passe avec Henri Guaino et Marcel Gauchet, interrogé par Jean-Pierre Elkabach, le 4 février.
Sur France inter, le 27 janvier, Edgar Morin déplore qu’il n’y ait plus, dans nos sociétés, de pensée politique d’envergure, comme il y en eut aux XIXème et XXème siècles. Et il cite celles qui comptent : la pensée de Marx, pour la Révolution, celle de Tocqueville pour le courant libéral, celle de Maurras, pour la pensée réactionnaire. Ce dernier terme n’a, d’ailleurs, dans ce cadre, aucune connotation péjorative. Simplement, pour Edgar Morin, l’absence de toute pensée politique contribue à cette « réduction du Politique à l’Economique » qui est, pour lui, comme pour nous, l’un des vices profonds de la modernité. En somme, Edgar Morin appelle de ses vœux, tout simplement, la renaissance de la pensée politique. C’était aussi, on le sait, l’objectif de Pierre Boutang lorsqu’ii écrivait, il y a quelques trente ans, son « Reprendre le Pouvoir ».
Ensuite, sur Public Sénat, Edgar Morin liquide en quelques phrases le concept de révolution, le mythe du progrès, le tout-économique, la mondialisation, en ce qu’elle affaiblit « le local, le régional, le national », la réduction de nos sociétés au quantitatif, au chiffre, au calcul …. Pendant trente ans, aux Baux, lorsque nous y faisions nos rassemblements royalistes, Gustave Thibon ne disait guère autre chose.
Ce sont des bombes à retardement qu’Edgar Morin, volens nolens, vient de semer sur les terrains divers de la pensée révolutionnaire, de gauche ou de droite. Et si l’on considère l’évolution d’Alain Finkielkraut ou de Régis Debray – comme exemples parmi d’autres – l’on peut en conclure qu’il s’agit là d’un courant venu « des profondeurs ». Aussi que nous ne sommes plus des « parias » ; que nous ne sommes plus seuls à penser comme nous le faisons. Enfin que les intellectuels dits « de droite » n’auront pas eu le premier rôle dans ces « révolutions » salutaires…..
Voici les deux vidéos (suivie, pour la seconde, qui est plus longue, d’une sorte de mini résumé des passages les plus importants….) :
Marc Vergier sur Histoire ▬ Le 23 novembre 1944…
“Question : Est-ce lui que Charles de Gaulle, à qui il venait proposer sa collaboration, a…”