Europe
Journal de l’année 14 de Jacques Bainville ▬ 22 septembre : « J’ai vu ce matin l’abbé Wetterlé… »
Journal de l’année 14 de Jacques Bainville : Les notes sont quasiment quotidiennes jusqu’au 31 décembre. Sauf du 14 au 27 août à cause des contraintes de la guerre. Nous conseillons vivement de les lire au jour le jour, comme elles furent écrites. Sachons que notre situation française et européenne d’aujourd’hui découle largement des grands événements …
Le journal L’Humanité a peur de l’extrême-droite…
Sans commentaire. Transmis par Michel Franceschetti qu’on remercie.
Journal de l’année 14 de Jacques Bainville ▬ 21 septembre : « Cette guerre était inutile et pouvait être évitée … »
Journal de l’année 14 de Jacques Bainville : Les notes sont quasiment quotidiennes jusqu’au 31 décembre. Sauf du 14 au 27 août à cause des contraintes de la guerre. Nous conseillons vivement de les lire au jour le jour, comme elles furent écrites. Sachons que notre situation française et européenne d’aujourd’hui découle largement des grands événements …
Pure actualité ? La démocratie est bien le pire des régimes… sans exception. La haine froide de Platon
Par Louis Soubiale . Les 30 juin et 7 juillet 2024, la France vécut un moment politiquement dense et d’une fantaisie peu commune depuis l’instauration de la Ve République. Ce kairos, survenu au soir même du 7 juillet, a démontré, s’il en était besoin, l’inanité d’un régime, la démocratie, dont Winston Churchill affirmait pourtant qu’il « est …
Journal de l’année 14 de Jacques Bainville ▬ 20 septembre : « Mort héroïque de Charles Péguy au champ d’honneur et destruction de la cathédrale de Reims »
La cathédrale de Reims, le 19 septembre 1914 Journal de l’année 14 de Jacques Bainville : Les notes sont quasiment quotidiennes jusqu’au 31 décembre. Sauf du 14 au 27 août à cause des contraintes de la guerre. Nous conseillons vivement de les lire au jour le jour, comme elles furent écrites. Sachons que notre situation française …
Passé-Présent : Le logiciel impérial russe avec Jean-Robert Raviot
Exposé très clair, dans des termes remarquablement mesurés, qui permet, comme TVL le souligne, de « comprendre les dynamiques politiques de la Russie d’aujourd’hui, ainsi que la trajectoire du jeune Etat ukrainien, produit de la guerre froide et de l’éclatement de l’URSS en 1991 ». Il s’agit de l’avenir de l’Europe. Et du destin français qui s’y …
Lire la suitePassé-Présent : Le logiciel impérial russe avec Jean-Robert Raviot
Journal de l’année 14 de Jacques Bainville ▬ 18 septembre : « D’ici quarante-huit heures nous aurons certainement quitté Bordeaux »
Le général de Castelnau Journal de l’année 14 de Jacques Bainville : Les notes sont quasiment quotidiennes jusqu’au 31 décembre. Sauf du 14 au 27 août à cause des contraintes de la guerre. Nous conseillons vivement de les lire au jour le jour, comme elles furent écrites. Sachons que notre situation française et européenne d’aujourd’hui découle …
Renaud Girard : La volte-face allemande sur l’immigration
Cette analyse de Renaud Girard parue dans Le Figaro de ce matin, politiquement assez incorrecte – en voie de devenir correcte ? – est remarquablement lucide dans sa substance et son détail, tandis que sa conclusion pointe l’illusion naïve des Grecs, Polonais et Autrichiens qui se figuraient que la politique migratoire de l’Europe « devait se …
Lire la suiteRenaud Girard : La volte-face allemande sur l’immigration
Comment François d’Orcival commente dans Valeurs Actuelles un article de L’Action Française qui faisait en juin 40 l’apologie du colonel de Gaulle. Signé par Maurice Pujo
« Quand l’Action française loue les espoirs que la France blessée met en lui… Un texte méconnu que rappelle Marc Fosseux. » Par François d’Orcival. Cette chronique est parue dans le numéro de Valeurs Actuelles de la semaine en cours. Elle est à la première impression étonnante. En raison, d’abord, de la vision simpliste et manichéenne que …
Grégoire Legrand sur De quelques récents anglicismes
“Au hasard, notre dernier poète épique s’appelle Frédéric Mistral. Je sais que vous ne l’aimez guère,…”