Le point de départ est la politique d’immigration et d’asile. Dès l’entame de son discours, le Procureur général d’Anvers, M. Liégeois, a donné le ton :
« La fin de la démocratie est peut-être bien proche. Les problèmes deviennent ingérables. L’échec total de la politique de migration en est une expression. » ; il dresse un constat très sombre de certains quartiers des villes belges où il dit constater, sur la base d’un tour de table avec les auditeurs du travail des provinces d’Anvers et du Limbourg (soit le ressort de la cour d’appel d’Anvers) une augmentation « des pratiques socio-économiques déstabilisantes » ; il dit remarquer que la plupart des étrangers peuvent disposer d’indemnités de chômage s’ils ont travaillé suffisamment dans leur pays d’origine. Or, ajoute-t-il, des organisations criminelles créent des sociétés qui fournissent de fausses attestations de travail que le travailleur peut acheter. « Nous sommes submergés par ces filières criminelles, ces faux indépendants et sociétés bidons. Surtout à Anvers » ; il s’en prendre également à la politique de l’asile. « Le statut en matière d’asile est détourné : cela vaut aussi pour le regroupement familial qui est beaucoup trop facile. » Ce qui pèse sur la sécurité sociale.
Le plus intéressant est peit-être que le Ministre de la Justice, qui a critiqué la forme, mais pas le fond, de ces propos a laissé entendre « tout ne se déroule pas parfaitement » dans le domaine de la politique d’immigration…..
Lire la suiteC’est lu dans La Libre Belgique, et c’est à lire, et à faire lire :
Antiquus sur Histoire ▬ Le 23 novembre 1944…
“Et si on parlait un peu du plus efficace et le plus incontestable des résistants alsaciens:…”