Le 11 septembre, c’était Le patron de l’antiterrorisme français, Bernard Squarcini qui assurait que la menace d’un attentat sur le sol français « n’a jamais été aussi grande », citant comme principale source d’inquiétude Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI), dans un entretien publié par le Journal du Dimanche.
Le 17, c’était au tour de Louis Caprio, dont l’entretien était visible le même jour sur le fil de LCI…
Un commentaire ? On l’a déjà dit cent fois, et c’est le titre d’une de nos Catégories : Banlieues : des bombes à retardement.
L’Ecclesiaste l’a écrit, il y a bien longtemps, Les parents ont mangé des raisons verts et les enfants ont eu les dents agacées…..
Tout se paye dans la vie, tôt ou tard : toutes les erreurs, toutes les folies et, en l’occurrence, toutes les politiques (?) insensées menées au nom de l’idéologie.
Qui peut nier sérieusement qu’il existe un réservoir énorme de personnes, dans les banlieues et les cités, qui seront une proie facile pour le terrorisme si celui-ci se décidait à passer à l’action ? Ou, plutôt, lorqu’il se décidera…..
Et, surtout, des jeunes et des très jeunes, qui n’ont peur de rien, très facilement enrégimentables, et encore plus facilement manipulables….
« Ca finira mal !… », dit le perroquet du conte de Bainville……
Luc sur Une initiative papale qui, curieusement, arrive…
“Oui.”