Bien sûr, il y a une crise, et tout le monde en parle. Souvent, peut-être, sans prendre suffisamment de recul, ou de hauteur. Et en en restant, pour ainsi dire, à une vision technique et gestionnaire de cette crise dont, on parle tant.
On risque alors de ne pas en percevoir la partie la plus importante : cette crise n’est-elle pas, en réalité, beaucoup plus large, beaucoup plus vaste qu’une simple crise économique ?
N’est-elle pas, fondamentalement et essentiellement, une crise anthropologique et ontologique. Sans vouloir tomber dans l’excès, n’est-elle pas une crise de l’homme…
Grégoire Legrand sur Repris des réseaux sociaux qui ne…
“La situation n’est pas tout à fait comparable. L’Inde n’est pas une puissance en devenir, c’est…”