On sait que Michel de Grèce vient de publier un roman que l’on pourrait qualifier peut-être d’historico-policier, consacré au vol rocambolesque des Joyaux de la Couronne, pendant la révolution : les deux tiers des diamants, notre patrimoine à tous, ont alors disparu pour toujours…
Mais ce n’est pas sur le livre en lui-même que nous nous arrêterons aujourd’hui : nous signalerons juste un passage d’un des nombreux entretiens qu’a eu Michel de Grèce avec des journalistes à l’occasion de la sortie de son ouvrage, en l’occurrence celui qu’il a eu avec Barbara Lambert.
Parce qu’il y re-dit une chose que l’on sait, mais qu’il est toujours bon de re-dire malgré tout : le rôle important joué par l’Angleterre dans notre révolution, et surtout le pourquoi de ce rôle.
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“Quand un désaccord survient, faut-il donc le taire afin de ne pas affaiblir notre combat?”