…le changement, c’est bien maintenant :
Lire la suiteSoyons justes, et sachons le reconnaître honnêtement : oui, Hollande a raison…
« Je compte faire entendre la voix d’un peuple qui en a assez. J’utiliserai tous les arguments du droit. Je compte aussi faire un travail pédagogique auprès des communautés issues de l’immigration pour qu’elles comprennent qu’elles ont leur place dans la Patrie à condition qu’elles respectent la Patrie, que nous les aiderons mais qu’elles doivent la respecter ». …
Mais pourquoi s’arrête-t-elle en si bon chemin, la ministre (de la Culture, ou de l’inculture, on n’a pas bien lu…) ? Ce sont « des générations et des générations » d’immigrés qui ont construit « la richesse économique et culturelle de la France d’aujourd’hui » ? Mais, depuis 2.000 ans, c’est une évidence ! Pourquoi la ministre s’est-elle montrée …
« Avec 3,5 millions de voix, le FN aura entre 0 et 3 députés, tandis qu’avec 1,4 million de voix, les Verts en auront autour de 15. Ces 4 chiffres condamnent le système. Il est urgent d’abandonner ce trucage électoral. Que ce soit pour un scrutin proportionnel ou pour un scrutin majoritaire à un tour. Tout …
Lire la suite« Trucage électoral » (Jean Rouxel, dans « Les 4 Vérités »)…
…des résultats qui risquent de donner, comme d’habitude, la majorité à des élus deux fois minoritaires : * minoritaires une première fois parce que le total des non inscrits (9 à 10%, soit 4 à 4,5 millions de français), des abstentions (plus de 42%, soit près de 19 millions) et des bulletins blancs ou nuls, …
En réalité, le « problème Montebourg » n’est pas le problème d’Arnaud Montebourg mais un problème pour François Hollande et la démagogie simpliste, mais obligée, du Système. Car, enfin, soyons sérieux : Montebourg est condamné à l’euro symbolique, soit, mais nous ne donnons pas dans l’anti-socialisme primaire. Il a raison sur le fond, et nous partageons …
Lire la suiteMontebourg condamné… : où est le « vrai » problème ?…
Mais il y a une deuxième chose, qui vient aggraver encore cela…
La deuxième carence des diverses représentations de l’opinion publique, à tous les échelons de la vie politique, est d’une nature tout autre. Elle est propre à la France, et ne se retrouve dans aucun autre pays du monde, et elle ferait rire si le sujet n’était pas d’importance, puisqu’il engage la vie de la Nation, dans un sens qui n’est pas celui souhaité par les citoyens.
Depuis trois décennies, il s’agit de l’insincérité des résultats de l’ensemble des élections, héritage empoisonné – et victoire posthume permanente… – du florentinisme machiavélique de François Mitterand, stupidement accepté ou subi par « la droite la plus bête du monde », qui se laisse dicter sa conduite (!) par le Terrorisme idéologique d’une gauche et d’une extrême-gauche qui détiennent, depuis 1945, les leviers qui permettent de manipuler et façonner l’opinion (Université, presse écrite et parlée…).
La « majorité » et, bien sûr, les pouvoirs immenses qui vont avec…
Les « jeux » internes du Pays légal ne nous intéressent pas, en tant que tels, et ne nous concernent pas. Nous sommes royalistes, c’est-à-dire partisans d’un Régime qui fédère et unit les citoyens. Entre autres, en préservant, à la tête de l’Etat, un espace a-démocratique qui assure la permanence de la Nation et lui donne le temps long, réservant le libre choix des légitimes fluctuations de l’opinion publique au poste de Premier ministre et aux autres échelons de la vie publique : élections communales, cantonales, législatives, régionales etc…
…et lui rendre hommage ce matin après Jules Ferry et Marie Curie :
Né en 1895 d’un hussard noir de la IIIe République issu des écoles normales, « ces séminaires où l’étude de la théologie était remplacée par des cours d’anticléricalisme » (la Gloire de mon père), Marcel Pagnol a donné son nom aux amicales laïques des écoles de l’Hexagone. Il symbolise donc ce qu’est censé aimer François Hollande en matière de références. Mais on imagine l’indignation qui l’aurait saisi devant certains articles du programme Hollande durant la campagne présidentielle de 2012…
On n’est pas toujours d’accord, loin s’en faut, avec lui, mais dans notre quête constante des convergences, fussent-elles inattendues, ce qu’a dit Michel Onfray dans cet article que nous reproduisons aujourd’hui est, de toute évidence, intéressant, et mérite que l’on s’y arrête, et qu’on y réfléchisse.
Car il en dit long sur le délabrement du Système, sur le désenchantement qu’il provoque, et son corollaire inévitable, le désamour… Dans bien des cas, on emploie l’expression « Grandeur et décadence de, ou des… » : le regard, lucide, d’Onfray sur l’état actuel de notre Système, c’est, sans contestation possible, « la décadence » qu’il retient…
C’est dans Le Monde du 17 avril 2012 (Michel Onfray a fondé en 2002, faut-il le rappeler, l’Université populaire de Caen…)
Lire la suitePourquoi il est possible de s’abstenir ou de voter blanc… par Michel Onfray
Chieragatti Rémy sur Mort de François : la disparition…
“Bonjour Merci pour cet article qui m’a permis d’équilibrer ma position sur le Pape François. Je…”