Il y a des verbes qui se conjuguent très irrégulièrement : par exemple le verbe « ouïr ».
Le verbe ouïr au présent, ça fait j’ois …
Il y a des verbes qui se conjuguent très irrégulièrement : par exemple le verbe « ouïr ».
Le verbe ouïr au présent, ça fait j’ois …
Le 16 mars dernier, nous avons présenté le livre d’Yves Loisel, Michel Mohrt, portrait, dans notre note « Vient de paraître : Michel Mohrt – Portrait, par Yves Loisel »
Editions Coop Breizh, 160 pages, 15 euros
La Nouvelle Revue universelle lui avait déjà rendu hommage : son directeur, Hilaire de Crémiers, vient de nous faire parvenir, sur cet ouvrage, le billet suivant :
Lire la suiteMichel Mohrt toujours vivant, par Hilaire de Crémiers
France 2 a diffusé, hier soir, Le dictateur.
A plusieurs reprises, dans les jours qui ont précédé, Laurent Delahousse (co-auteur avec Laurent Seksik du film inédit sur Chaplin, diffusé juste avant) est venu présenter ces deux films, insistant sur le fait qu’ « en 1936, avant tout le monde, il (Chaplin, ndlr) perçoit les enjeux de la folie hitlérienne… »
Laurent Delahousse est un bon journaliste, qui, habituellement, fait bien son travail. On nous permettra juste de dire que, sur ce point précis de la dénonciation du « danger, Hitler ! », il est dans l’erreur (ou l’ignorance) la plus complète.
Dès 1930, dans son Journal, Jacques Bainville dénonçait « l »énergumène » et « l’agitateur » et annonçait son antisémitisme; et cela ne devait pas cesser : en 1935, il l’appelait « le monstre » et le Minotaure ».
Voici les textes (on pourra se reporter à notre Album (174 photos) : Maîtres et témoins…(II) : Jacques Bainville.) et nous donnerons, demain, trois autres extraits du même Journal, datés des 9 et 26 novembre 1933, et du 5 janvier 1934, dans lesquels Bainville dénonce les persécutions antijuives et le racisme d’Hitler, splendidement et volontairement « ignorées » (!) par les dirigeant européens de l’époque, tous pays confondus… : alors, Laurent – et, sans rancune… – qui a perçu, avant tout le monde, les enjeux de la folie hitlérienne ?…
Gustave Cohen est un historien français, médiéviste, né à Saint-Josse-ten-Noode le 24 décembre 1879 et mort à Paris le 10 juin 1958
En octobre 1912, il est nommé professeur au tout nouveau département de français de l’Université d’Amsterdam, mais en 1914, il quitte ses étudiants pour faire la guerre.
À partir de la fin de la guerre, Cohen occupe des postes à l’Université de Strasbourg et à la Sorbonne. Il crée le groupe théâtral Les Théophiliens (nommé ainsi après la représentation du Miracle de Théophile de Rutebeuf en mai 1933, salle Louis Liard à la Sorbonne) dont René Clermont a été metteur en scène. C’est également en 1933 qu’il fonde, à Amsterdam, la Maison Descartes. À l’Institut français se trouve un buste pour honorer son fondateur.
En exil aux États-Unis pendant la seconde Guerre Mondiale, époque durant laquelle il rédige et publie La grande clarté du Moyen-Âge, Cohen y fonde, avec l’historien de l’art Henri Focillon l’École libre des hautes études (New York) et il anime les entretiens de Pontigny à Mount Holyoke College.
D’origine juive, il se convertit au catholicisme à 64 ans.
(attention : ce mercredi 14 mai, à 20h40, KTO proposera un documentaire sur les Cristeros, qui s’annonce passionnant, intitulé Les pélerins de l’Epiphanie, ndlr…) Chers amis des Cristeros, Vos efforts ont porté leurs fruits et depuis mercredi, ce sont 16 nouvelles salles qui nous ouvrent leurs portes le 14 mai prochain ! Ceux parmi …
http://www.lefigaro.fr/cinema/2014/05/02/03002-20140502ARTFIG00048-les-cristeros-ou-l-honneur-de-dieu.php
(Récemment, vous avez pu lire l’hommage de Philippe Granarolo à Jean-François Mattéi. Cet hommage a été publié dans le site « iPhilo », dont Philippe Granarolo nous a demandé de signaler l’existence à ceux de nos lecteurs qui ne le connaitraient pas : nous le faisons, ici, bien volontiers…) Créé par des étudiants de Sciences-Po Paris, le site …
Lire la suite(Communiqué) : Le site « iPhilo » : un site à visiter régulièrement…
Sevillia manifeste conservateur.jpg « L’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen » (Vincent Peillon) L’état de crise générale qui règne aujourd’hui dans la société française, comme l’a révélé, entre autres, l’ampleur sans précédent de la « manif pour tous », menace aujourd’hui l’universalité même de notre modèle sociopolitique …
Marc Vergier sur Histoire ▬ Le 23 novembre 1944…
“Question : Est-ce lui que Charles de Gaulle, à qui il venait proposer sa collaboration, a…”