… et sa condamnation en 1945 ?
A ce stade, final, de notre conversation, nous avons choisi d’aborder ce thème d’une façon un peu différente de la « traditionnelle », en commençant par parler d’abord… de la Guerre de 14 !
Nous avons ainsi rappelé à notre interlocuteur quelle avait été la politique de L’Action française lors de la Première Guerre mondiale : sa politique d’union nationale, ou d’union sacrée – surtout lorsque ce fut autour de Clémenceau, l’un des « ennemis de toujours » – ne fit pourtant pas l’unanimité dans ses rangs – et ne la fait toujours pas – puisque certains faisaient remarquer, avec justesse, que ce serait la France, certes, mais aussi la République qui gagnerait la guerre.
Pierre Builly sur Yves D’amécourt de l’Institut Thomas More…
“Au moins l’article parvient à placer de la lucidité là où trop de gens de Droite…”