Ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf)
Photo La Couronne Question récurrente; question maintes fois posée, dans des circonstances diverses; question qui revient sans cesse et aujourd’hui particulièrement, dans la presse écrite, comme dans les médias audiovisuels, en raison de l’effondrement de nos Institutions politiques et des partis de Droite comme de Gauche. Question qui découle naturellement d’une forte impression de fin de règne, …
Vendredi prochain, 25 juillet, ouverture de notre second site, lafautearousseau, grands auteurs ou acteurs de l’Histoire. A suivre…
Demain, vous aurez à lire, ou relire, la première note publiée dans lafautearousseau (28.02.207) : « LA question de fond ? La République a ruiné la France ». A ne manquer sous aucun prétexte.
Connaissez-vous le GLO/CAL (globalisation/local) ? Sur France info (dimanche 6 juillet dernier) une excellente conclusion à propos de la parution d’ « apprendre l’Occcitan, » avec la méthode Assimil. Pour écouter cette courte chronique (2’04), s’achevant par un éloge inattendu et bienvenu des racines et des traditions : http://www.franceinfo.fr/player/resource/511293-1041107
Ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf)
L’état : une dispendieuse fiction
Depuis les débuts de son histoire, celle-ci est à la fois un État et une société, qui ne se confondent pas mais marchent côte à côte, l’état ayant contribué à façonner la société, à la faire vivre et durer, cette dernière, de son côté, ayant toujours participé, selon des modalités variables, au fonctionnement de l’État – au point que son consentement constitue l’un des critères de sa légitimité. Or, tout cela part à vau-l’eau.
L’État renonce, morceau par morceau, à sa propre souveraineté, acceptant de se fondre dans un ensemble fédéral au sein duquel sa nature étatique ne sera plus que virtuelle. Sur un autre plan, il laisse se disloquer les structures mises en place avec la Ve république – ces institutions qui lui avaient permis de tenir son rang pendant plus d’un demi-siècle, et d’échapper à un déclin qui, au vu des républiques précédentes, semblait pourtant fatal. Quant à la société, elle ne sait plus où elle en est ni où elle va – emportée par les turbulences de la mondialisation, brisée par l’horreur économique, secouée jusqu’aux tréfonds par des réformes sociétales qui, au nom du Progrès, achèvent de saper ses fondements et de défaire son identité.
Lire la suiteInstitutions : A la recherche du politique perdu, par Frédéric Rouvillois
« Il n’est nullement coupable de placer une manière de vivre ou de penser au dessus de toutes les autres et d’éprouver peu d’attirance envers tels ou tels dont le genre de vie, respectable en lui-même, s’éloigne par trop de celui auquel on est traditionnellement attaché. (…) Cette incommunicabilité relative n’autorise pas à opprimer ou à détruire les …
Si vous souhaitez recevoir notre lettre de diffusion (« Newsletter » pour notre hébergeur) ou si vous ne la recevez plus, n’hésitez pas à vous inscrire ou réinscrire ! (Colonne de droite, en partie haute) Actuellement, notre lettre de diffusion est envoyée tous les deux jours. Elle récapitule les notes parues les deux jours concernés.
Nous ne le claironnons pas tous les jours, pourtant Lafautearousseau continue de s’organiser, de progresser, d’étendre le champ de sa réflexion. Et de mettre en ordre, de rendre plus accessibles, l’ensemble des documents (écrits ou audiovisuels) qui s’y trouvent réunis en grand nombre, pour notre et votre usage. Que le tout serve à tous – lecteurs individuels, sites, blogs …
Nous sommes tous des héritiers d’Athéna, la déesse de la sagesse grecque ! Les Grecs nous ont donné la science, la médecine, la philosophie, la politique, les jeux olympiques, l’art classique et jusqu’à l’alphabet complet, avec les voyelles et consonnes. Le Christianisme lui-même s’est enraciné dans l’hellénisme et Saint Augustin a puisé dans Platon, comme Saint Thomas …
Di Guardia sur Vendredi soir sur un rond-point, le…
“Oui, nos « Bravos ! » sont justes. J’y ajoute le mien.”