Nous avons aimé cette « leçon de Chambord », qui est aussi une balade estivale, des références à l’Histoire, des souvenirs personnels, et une réflexion politique, royaliste, qui n’est pas théorique mais vécue. On sait que ce genre d’engagement, commencé souvent très jeune et poursuivi toute une vie, est, souvent, plus convainquant que les meilleurs des raisonnements… D’aucuns se souviendront que c’est là ce que disait Péguy à propos de Maurras : ses démonstrations les plus rigoureuses n’emportaient pas forcément l’adhésion; mais, disait Péguy, quand on savait que cet homme là était prêt à mourir pour ses idées, pour ce Roi qu’il voulait pour la France, alors là, on s’arrêtait, on écoutait, on devenait attentif … C’est en quelque sorte en ce sens que nous publions, en toute amitié d’esprit et convictions partagées, ces lignes de Jean-Philippe Chauvin.
Et puis, nous sommes ces jours-ci dans une suite d’images et de réflexions royalistes, sans compter, pour ce qui est de notre engagement et de sa valeur, que nous sommes aussi dans une année Péguy, Bouvines, et Saint-Louis.
Lafautearousseau
J’ai profité des premiers jours de juillet pour me promener en France qui, partout, a quelque beauté à nous dévoiler, même lorsque le soleil se fait hésitant ou fragile. Ma première étape était le château de Chambord, magnifique joyau de la Renaissance, indissociable du règne du roi François Ier mais aussi de la prétendance du comte de Chambord, celui-là même qui aurait pu être roi sous le nom d’Henri V : en ces heures de congés scolaires, je n’oublie pas la politique qui, elle, ne prend pas de vacances, et je dois avouer que la comparaison entre l’œuvre du roi François et celle du président du même prénom est facile et instructive…
Lire la suiteLeçon de Chambord…, selon Jean-Philippe Chauvin
Di Guardia sur Vendredi soir sur un rond-point, le…
“Oui, nos « Bravos ! » sont justes. J’y ajoute le mien.”