Le feuilleton de la cession de SFR par son actionnaire principal, le groupe Vivendi, illustre jusqu’à la caricature le système économique actuel. Dans notre régime de marché libre, la logique industrielle a cédé la place à la spéculation financière. Et les hommes politiques interviennent pour essayer de se faire un peu de publicité – surtout en période électorale.
Tout le monde parle des « offres » faites par les deux candidats acquéreurs, mais personne ne s’intéresse réellement aux motifs qui les ont conduit à présenter chacun une offre. Et, d’ailleurs, à la relever plusieurs fois. De fait, SFR est l’objet, non d’une offre de reprise, mais d’un marchandage public.
Lire la suiteLe feuilleton de la cession de SFR, par François Reloujac*
Di Guardia sur Vendredi soir sur un rond-point, le…
“Oui, nos « Bravos ! » sont justes. J’y ajoute le mien.”