C’est un fait indéniable : dans son combat de défense des ouvriers de Florange, il était « sympa », Edouard Martin, il était ce que l’on appele familièrement « un type bien » et, plus politiquement, il menait ce qui était sans nul doute, pour une bonne part, un bon combat : du type et dans la veine de ceux qu’un Bernanos ou un Maurras n’auraient pas désavoués, eux qui avaient su voir, dans la révolte desespérée de la Commune -à côté de vrais re-terroristes sans intérêt pour nous – plein de braves ouvriers et prolétaires français, trompés et bernés par des dirigeants de gauche utopiques, idéologiques et internationalistes; pour tous ces braves gens, poussés au désespoir le plus extrême par la folie des « nuées » qu’ils avaient eu l’imprudence de suivre, Maurras et Bernanos et l’Action française auraient demandé l’indulgence, et, en tout cas, condamnèrent la répression aveugle et haineuse de Thiers envers eux… Et ils se souvenaient qu’au début du siècle, une foule de travailleurs, où se mêlaient Camelots du Roi et grévistes pourtant catalogués « à gauche » pendirent au balcon d’une bourse du travail le buste de Marianne…
La patte à Catoneo : Le doute républicain
Sur le site de Riposte laïque, un des responsables de l’association Résistance républicaine (1), du nom très offensif de Philarcheïn, poursuivi par le MRAP pour hétérodoxie, commence à allumer la lampe du doute. Républicain sincère – il faut l’être pour cotiser – il se croyait en 1789 et se réveille en 1793. Ce n’est plus …
Felix sur La question de Philippe de Villiers…
“Passer de Sejourné à Barrot quelle en est la difference entre 2 personnes qui n’ont aucune…”