(Le mot du Président, dans La Lettre n° 80 de La Restauration nationale)
Résistance ! Le mot est tellement connoté par l’historiquement-correct que son utilisation semble d’une incongruité absolue à nos gouvernants qui en sont devenus la cible. Le mot passe mal chez Taubira. Elle comprend qu’on ait pu résister à la prétention nazie de vouloir « créer un homme nouveau », pas à la sienne de vouloir « réformer la civilisation ». Le vocable étrangle aussi le ministre de l’intérieur, surnommé Manuel « Gaz » depuis les violences injustifiées de sa police. Les CRSS-SS, aujourd’hui, ce sont les siens ! Les « veilleurs immobiles » qui se plantent devant les palais de justice, tels des bornes de protestation contre l’emprisonnement abusif, participent aussi d’un esprit de résistance. Celui-ci vise désormais l’ensemble du gouvernement et le chef de l’Etat dont les mensonges, le mépris, les manipulations et les violences ont suscité en effet des mouvements et des réseaux dans toute la France. Plus encore, ce sont tous les « collaborationnistes » qui sont en cause, de quelque parti dont ils se réclament. Ils feraient bien de s’en souvenir quand les élections viendront !
Lire la suiteRésistance et reconquête, par Bernard Pascaud
Pierre Builly sur Mort de François : la disparition…
“@Euzennat de Croux : Respect, respect, révérence, inclination à la soumission ! C’est bien tout cela…”