1. A Saint-Germain-l’Auxerrois, Paroisse des Rois de France :
Monseigneur le Comte de Paris, à la sortie de la Messe.
Chaque jour nous apporte de nouveaux signes de la destruction de tout ce à quoi nous croyons et qui fait la grandeur de notre civilisation : négation des valeurs chrétiennes, démolition de l’idée de patrie, atteintes à la famille, multiplication des comportements déviants, etc. Tout cela est-il le fruit du hasard, une génération spontanée d’initiatives isolées ? …
Lire la suiteLe grain de sel de Scipion : Think global, act local
Monseigneur le Comte de Paris, à la sortie de la Messe.
On dit qu’il aurait été abattu par des gens du MNLA (Mouvement national de libération de l’Azawad); c’est à vérifier… Mais ce qui est sûr c’est que, sitôt le « coup de main » de son groupe sur le site de In Amenas confronté à une sévère réaction miliatire, il s’est caché parmi des civils : belle …
Les Messes pour Louis XVI ne doivent pas être de pure commémoration…..
Albert Camus le meurtre du roi pretre.pdf
Les Messes pour Louis XVI, dites partout en France – et à l’étranger – depuis 1793, ne sont plus de pure commémoration. Elles doivent aussi, elles doivent surtout, pour aujourd’hui, nourrir le processus de dérévolution dont la France a besoin pour renouer avec son Histoire, se replacer dans le droit fil de sa trajectoire historique et, s’il se peut, reprendre, un jour, sa marche en avant.
Pendant bien des années, en effet, tous les 21 janvier, les Messes pour Louis XVI étaient, essentiellement, commémoratives.
Les dernières de cette longue série, que l’Action française était presque seule à maintenir, ne réunissaient plus, du moins en province, malgré une fidélité remarquable des participants, que peu de monde; elles étaient plutôt tristes; souvent, le célébrant ne disait pas un mot du roi Louis XVI; ces Messes avaient un air de naufrage du grand souvenir qui les motivait.
Les choses ont bien changé depuis déjà quelques années.
Il nous semble qu’elles ont basculé, pour un certain nombre de raisons assez identifiables, autour des années 1987, 1989 et 1993 …
1987, c’était le millénaire capétien où le comte de Paris prit l’heureuse décision de titrer, avec solennité, ses petits-fils Jean et Eudes, ducs de Vendôme et d’Angoulême ; de désigner le prince Jean comme devant reprendre le flambeau de la Famille de France et de la tradition royale. Par là, il semble qu’il rouvrait à l’hypothèse monarchique un horizon nouveau …
1989, ce fut l’échec patent des commémorations de la Révolution.
1993, deuxième centenaire de l’exécution de Louis XVI, ce fut, grâce à l’action de quelques uns (Jean Raspail, Marcel Jullian, Jean-Marc Varaut …) l’occasion d’un procès en règle de la Révolution, de ses horreurs, de l’exécution du Roi et de la Reine, du martyre de Louis XVII, de la Terreur, du génocide vendéen …
Quelques uns encore (Jean-Marc Varaut, Alain Besançon, Jean-François Mattéi) ont développé l’idée que cette révolution était la matrice des horreurs révolutionnaires et totalitaires qui ont marqué tout le XXème siècle. Ainsi, le rejet de la Révolution commençait à s’inscrire dans notre modernité. Et aboutissait, de facto, à la remettre en cause. On sait que, depuis, cette remise en cause est pratiquée aussi par des intellectuels issus de la Gauche, parmi les plus éminents.
Au cours des années qui ont suivi, la redécouverte progressive de notre histoire monarchique par un certain nombre d’intellectuels, mais aussi dans la presse, les médias, et, finalement, une frange non négligeable de l’opinion française, s’est faite, de plus en plus, de façon non plus négative, mais positive.
De fait, notre hypothèse étant qu’un certain basculement de ce que Barrès nommait « les puissances du sentiment » s’est produit, en France, à partir de 1987 jusqu’à aujourd’hui, l’on ne peut plus parler ni de la Révolution ni de notre passé monarchique, après, comme on en parlait avant…
Ce n’est sûrement pas une coïncidence, si, simultanément, dans toute la France, les Messes du 21 janvier ont pris, de façon a priori surprenante, un nouveau visage. Les assistances sont devenues nombreuses, ferventes, priantes ; les prêtres sont devenus sensibles à l’exemplarité du Roi et de la Reine, au sort indigne infligé à Louis XVII, aux conséquences sociales, politiques et, même, religieuses de la Révolution. Ces Messes ont cessé d’être des Messes d’enterrement. Elles ont retrouvé un sens. La liturgie y est, souvent, redevenue très belle et la présence des Princes, à Paris, comme en Province, donne à ce qu’elles commémorent une incarnation qui pourrait être utile au temps présent.
C’est ainsi que les Messes pour Louis XVI contribuent symboliquement et performativement à ce que nous appelons le processus de dérévolution. Processus dont la France a besoin pour rompre le cycle schizophrène qui, depuis deux siècles, l’a coupée d’elle-même.
Nous avons la chance historique – pour la première fois depuis fort longtemps – que les Princes de la Maison de France, y soient, à titre éminent, partie prenante.
Si nous savons contribuer à activer et amplifier ce processus, tout simplement, nous serons utiles, non à notre propre plaisir, mais à notre Pays.
Nous publierons ici la liste de toutes les messes dont nous aurons connaissance…
I : Excellente ambiance chaleureuse et amicale ce samedi 20 janvier en soirée au cours du banquet royaliste qui faisait suite au colloque organisé par le Cercle de Flore dans la journée. Les chants joyeux résonnaient se répondant d une salle à l’autre. Plus de cent convives répondirent à l’invitation de l’Action française pour ce moment …
Toute pensée qui ne se traduit pas par une action est vaine, c’est une affaire entendue; mais toute action – contre le des-ordre établi actuel- qui ne se fonderait pas sur les Idées d’ordre, serait simplement de l’activisme, de l’agitation brouillonne et, au final, tout aussi vaine. C’est donc une réflexion de fond sur la famille, …
(Compte-rendu des organisateurs)
Si le temps avait été plus clément, certainement aurions-nous dû refuser du monde ! La péniche du Blues Café, samedi après-midi, avait en effet fait le plein de monde. Il est vrai que le thème était à la fois important et tombait en plein actualité, au lendemain du début de l’intervention française au Mali et que, d’autre part, les invités étaient prestigieux.
Lire la suiteSuccès du Colloque du Cercle de Flore : ingérence et politique étrangère
(Cette chronique n’a pas d’autre objet que de communiquer à nos lecteurs des articles et prises de positions sur lesquels nous nous trouvons en convergence, totale ou, au moins, partielle, et sur des points d’importance; elle ne signifie évidemment pas accord total et permanent, sur tous sujets et en toute occasion, avec les Blogs ou Pages mentionnées… Même chose pour les liens envoyés par des lecteurs, pour approfondir tel ou tel sujet traité sur le Blog, pour « aller plus loin »…)
1. Sur les Blogs, sur Facebook ou ailleurs… :
Les « jeunes » nous souhaitent la Bonne Année : c’est sur Boulevard Voltaire : http://www.bvoltaire.fr/christinetasin/les-identitaires-ne-sont-que-des-amateurs,7438
Défiant la neige et le froid, une centaine de personnes est venue, hier soir vendredi 18 janvier, à l’appel du CRAF (Centre Royaliste d’Action Française), devant l’ambassade grecque, manifester leur solidarité avec ce peuple martyr de Bruxelles, et crier leur volonté de sortir de l’euro et de rentrer dans l’histoire. Quittons leur « Europe » ! Sécession !
Outre Olivier Perceval, secrétaire général du CRAF, Elie Hatem, du comité directeur du CRAF et François Marcilhac, directeur éditorial de l’Action Française 2000, étaient également présents : Karim Ouchikh, président de Souveraineté, Indépendance et Libertés et Alain Bournazel, président du Rassemblement pour l’indépendance de la France, sans oublier Mme Jany Le Pen, qui est venue honorer la manifestation de sa présence et a prononcé quelques mots de soutien au peuple grec, en témoignage de ses origines hellènes.
Lire la suiteParis : Manifestation d’Action française devant l’ambassade de Grèce
« Du passé faisons table rase ! » : au programme des révolutionnaires, qui constitue la base de notre République idéologique, il faut opposer, non des opinions, mais des idées, et, si possible, une doctrine, pour reprendre la formule de Bainville. Mais on peut aussi lui résister en exaltant, justement, cette Culture, cette Civilisation, sans laquelle, en dehors de laquelle et contre laquelle la Révolution s’est levée, et la République idéologique s’est construite. Résistance par la culture : voilà pourquoi l’on donne tant de place, sur Lafautearousseau, au « culturel », à nos Racines…
Pour « quoi », et dans quel esprit, nous « faisons mémoire » :
* Charles Maurras : « …je mets quelque chose au-dessus d’elle (l’espérance) c’est la mémoire, la sainte et grande mémoire d’un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c’est avec lui que l’on fabrique un avenir solide, et des races vivaces »
* Jean de la Varende : « …le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon ».
L’Album des Ephémérides : L’aventure France racontée par les Cartes (200 photos)…
MUSIQUE DANS LES EPHEMERIDES.pdf
TABLE DES MATIERES PREMIER SEMESTRE.pdf
TABLE DES MATIERES SECOND SEMESTRE.pdf
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :
Michel MICHEL sur Meurtre d’Élias : le parcours judiciaire édifiant…
“La piraterie dans les établissements scolaires a pris la succession à la piraterie en Méditerranée… Mais…”