VIDEO 16min. Il y a plus de 10 ans – bien avant son installation en France et la naissance de sa notoriété – que JSF suit les travaux de Mathieu Bock-Côté. Dans le Journal de Montréal, d’abord, puis au Figaro, enfin sur CNEWS avec Eric Zemmour, sans lui, ensuite. Sans compter les livres qu’il a …
Par Richard. C’est justement la richesse du vocabulaire, outre la qualité de sa syntaxe qui représente le principal atout de la Langue française, et c’est à quoi il est porté le plus de coups ; va t’on le déplorer , et dès lors (du coup) , on n’est plus « dans le coup » ! …
JSF continue la publication au jour le jour du « Journal de l’année 14 » de Jacques Bainville. Il se poursuivra jusqu’au 31 décembre. Et c’est passionnant, extraordinaire de lucidité et de prévision. Une lecture formatrice à l’Histoire et aux réalités européennes d’aujourd’hui. Une lecture qui nous confirme cette vérité : ce sont les dynasties européennes …
Sans autre extrapolation… ou commentaire.
Par Pierre Builly. La marquise d’O d’Eric Rohmer (1976). Exercice de beau style. Éric Rohmer ne déteste pas s’embarquer sur des vaisseaux sans réalité et dans des histoires sans vraisemblance. Des histoires nourries de hasards et de rencontres improbables. Ce qui compte pour lui, une fois les prémisses posées et le point de départ admis, …
C’est le rêve et l’oeuvre d’Antonio Gaudi (1852-1926), architecte catalan… Une folie mystique de la foi catholique catalane en plein coeur de la ville.. La folie moderniste aussi d’un architecte ébloui par l’explosion des goûts et des techniques de son temps. Malade de l’obsession du détail, porteur d’in projet gigantesque dont la construction entamée au …
Lire la suiteEn cette fin de vacances, voir la Sagrada Familia à Barcelone, c’est une belle idée !
19 août 2024 Dans cet extrait, le sociologue Mathieu Bock-Côté aborde le phénomène de l’immigration massive en Occident et ses répercussions. Jerr Allain
Par Pierre Builly. Le samouraï de Jean-Pierre Melville (1967). Quintessence de Melville, quintessence de Delon. Et voilà qu’en 1967, l’art de Jean-Pierre Melville est à son sommet. Générique du film qui s’ouvre sur la chambre salie où Delon, à la beauté hiératique, et presque extérieure fume, allongé sur son lit, dans la seule compagnie de …
