Le sujet étant important, nous passons également en note, aujourd’hui, le commentaire envoyé hier en réponse aux deux commentaires de Patrick…
Lire la suitePour être roi « de » France, il faut être roi « en » France…..
Le sujet étant important, nous passons également en note, aujourd’hui, le commentaire envoyé hier en réponse aux deux commentaires de Patrick…
Lire la suitePour être roi « de » France, il faut être roi « en » France…..
On nous demande -sur maisaquilafaute– pourquoi nous sommes « contre le métissage ». Résumons-nous donc.
Et commençons par dire qu’il n’y a pas lieu, ni pour nous ni pour personne, d’être « pour » ou « contre » le métissage. Chaque personne, sur terre, vit comme elle l’entend et gère selon sa conscience sa vie privée et ses choix de vie personnels. La question ne nous semble donc pas correctement posée. Nul n’a à être « pour » ou « contre » le choix strictement personnel d’une personne qui veut vivre avec quelqu’un qui a ou qui n’a pas la même couleur de peau.
Cette sorte de préambule une fois posé, passons à l’essentiel.
Nous publions ci-dessous, in extenso, pour que tous nos visiteurs puissent les lire, deux commentaires d’Antiquus, excellents, comme ils le sont très souvent, parce que, sur chacun des deux sujets traités, ils nous ramènent à l’essentiel qui est bien notre critique de la démocratie idéologique.
Même si le second commentaire conteste l’actualité de notre première réaction dans l’affaire de Tibehirine, nous ne pouvons qu’être d’accord avec l’analyse qu’il en donne et, naturellement, avec sa conclusion.
Que ce soit en matière d’art, ou en matière de politique étrangère, la démocratie idéologique est bien le règne de l’absurde et du mensonge, qui, l’un et l’autre, détruisent notre nation et, par delà, notre civilisation.
Voici donc ces deux commentaires :
Lire la suitela démocratie idéologique, c’est l’absurde et c’est l’art du mensonge
« Ce qui fait la complexité de l’Histoire c’est que les évènement sortent sans fin les uns des autres ». Cette remarque de Jacques Bainville peut s’appliquer aussi, de toute évidence, aux idées, et notre débat ouvert à partir de la question d’Ariane en est une nouvelle preuve. Elle a suscité une telle réflexion, laquelle a nécessité à son tour de telles mises au point, que nous en sommes maintenant à la sixième note sur ce sujet et ses extensions !
Nous allons donc – temporairement… – conclure cette première série de réflexions, la réunir en un Pdf pour la commodité de la consultation, et livrer le tout au(x) lecteur(s)…
Nous le ferons en donnant la parole à Chateaubriand, pour un texte qui semble écrit aujourd’hui, à d’infimes détails près, ce qui montre bien que les problématiques actuelles ne sont pas nouvelles, et que le(s) problème(s) que nous avons aujourd’hui date(nt) de fort longtemps…
Nous en étions, dans notre prise de recul, au rappel des deux agressions militaires de l’Islam contre l’Europe (la première à partir de 711 par l’Espagne, et la seconde à partir de 1353 par la Grèce).
Entre ces deux assauts s’intercalent ce que l’on peut considérer comme une contre attaque des Européens.
C’est du moins ainsi que le voit Chateaubriand. Encore une fois, on croirait le texte écrit d’hier. A vos réactions…..
Voyons maintenant la deuxième invasion militaire d’une partie de l’Europe par l’Islam. Il ne s’agit plus là de Berbères d’Afrique du Nord, mais de Turcs, venus d’Asie centrale; et l’attaque n’est plus par le sud-ouest, mais par le sud-est.
Dès 1353, la dynastie turque des Ottomans, fondée par Osman 1er, prit pied en Europe: c’est en effet cette année-là que, follement appelé à l’aide par l’usurpateur Jean Cantacuzène, et jouant pleinement des dissensions suicidaires des chrétiens de l’Empire byzantin, le successeur d’Osman fonda à Gallipoli le premier établissement turc en Europe.
Arrivés à ce stade de notre réflexion, il n’est peut-être pas inutile de marquer une pause, afin de permettre à d’autres lecteurs de réagir et donc de nourrir le débat; mais afin, aussi, de prendre du recul et de réfléchir à ce que sont, au fond, les rapports entre l’Islam et l’Europe (la Chrétienté, l’Occident….) depuis treize siècles.
On a souvent tendance, en effet, à s’imaginer que ce que l’on vit est inédit; que c’est la première fois que le problème se pose, et que l’on est la première génération à être confrontée à tel ou tel problème…
Nous avons donc vu (première note) qu’il fallait d’abord savoir exactement ce que nous voulions faire, et quel avenir nous voulions (ou ne voulions pas…) pour notre pays; et conclu que, une fois la volonté politique arrêtée, les modalités techniques de mise en oeuvre restent, naturellement, à fixer, sans que, pour autant, les difficultés soient insurmontables.
Nous avons vu ensuite (deuxième note) où en était la législation actuelle (que l’on peut d’ailleurs modifier, dans le sens de l’adoucissement ou au contraire du durcissement…), et que les textes en vigueur prévoyaient déjà la possibilité d’une déchéance (et d’une expulsion). La conclusion, à la fin de notre deuxième note, étant, comme à la fin de la première : si un Etat de droit décide de déchoir et d’expulser, il en a la possibilité et les moyens; c’est avant tout une question de volonté politique.
Cette troisième note évoque un exemple historique : l’expulsion des Morisques d’Espagne, qui fut promulguée par Philippe III d’Espagne, le 22 septembre 1609. Et l’on verra que, sur deux points tout à fait majeurs, parler de l’Espagne de 1609 c’est parler de la France aujourd’hui, tant sont grandes, au point d’en être surprenantes, les ressemblances entre les deux situations (1).
Plusieurs messages sur maisaquilafaute, après (et à propos de) nos trois notes sur L’évasion de Louis XVI (1).
Il est un peu délicat de répondre à plusieurs personnes en même temps, mais ces messages se référant tous au même sujet, ayant la même tonalité d’ensemble et, surtout, appelant tous la même réponse, nous avons jugé préférable de condenser et récapituler dans une même courte réflexion ce que chacun de ces messages nous a inspiré.
Que chacun(e) d’entre vous continue à s’exprimer sur ce blog. Soit par des commentaires, qui ont l’avantage d’être imédiatement consultables par l’ensemble des lecteurs, et peuvent ainsi à leur tour susciter d’autres commentaires; soit par des messages sur maisaquilafaute (rubrique nous contacter, en haut à gauche de la page d’accueil), qui permettent de poser des questions plus précises sur tel ou tel point, et qui ne relèvent pas d’un commentaire stricto sensu.
Dans un cas comme dans l’autre, ce blog est un espace de liberté et d’échange(s), et nous remercions toutes celles et tous ceux qui le font vivre et bouger avec leurs réflexions….
Les messages reçus ont, tous, trait au processus de réhabilitation de la Famille Impériale de Russie; et ils posent, tous, la même question : cela se verra-t-il, à la fin des fins, en France ?…..
(1) : Voir les trois notes « L’évasion de Louis XVI ? Quelle soirée sur France 2 !….. » et les deux notes « L’évasion de Louis XVI » : Y aura-t-il un « avant » et un « après » ?….. » dans la Catégorie « Révolution, République, Totalitarisme ».
Poursuivons maintenant notre débat motivé par la question d’Ariane « Les expulser, oui, mais pour où ? »
Et consultons les textes de Lois en vigueur: nous verrons alors que la possibilité de déchoir existe bien, dès maintenant, dans les textes. Des textes que, de toutes façons, les députés peuvent faire évoluer, dans un sens ou dans l’autre (durcissement, ou adoucissement).
On en revient donc bien à ce que nous disions: d’abord et avant tout se pose la question de la volonté politique. La situation actuelle nous satisfait-elle ? Quelle France voulons-nous, quelles lois voulons-nous, quelles modifications éventuelles des textes en vigueur sommes-nous prêts à proposer et à appuyer ?
Voici ce que, pour l’instant, disent les textes (source: Nathalie BRUNETTI et Carine DIEBOLT – « Droit pour Tous » – 2007) :
Quand nous avons créé ce blog, c’était pour tout un ensemble de raisons, que nous n’allons pas récapituler ici; mais c’était aussi avec cette intention bien précise : créer un espace de liberté, de rencontre positive et d’enrichissement mutuel, naissant de la libre confrontation des points de vue, et permettant à chacun de toujours mieux préciser sa pensée, en la frottant à celle des autres, et à leurs objections.
Un échange amical, donc, marchant dans les deux sens. Nous n’avons pas, en effet, la prétention d’avoir la science infuse, et de tout savoir sur tous les sujets. Et nous ne somme pas là pour asséner des vérités définitives à des gens qui seraient obligés de les accepter en bloc, et surtout de les recevoir sans les discuter….
Lire la suite« Les expulser, oui, mais pour où ? »…(1/6): Début de réponse à une bonne question…
Cording1 sur Ce crime impuni, contre l’honneur paysan
“Le monde paysan selon Gustave Thibon est mort depuis longtemps. Les paysans sont plus entrepreneurs de…”