Patrimoine cinématographique • La chute
Par Pierre Builly. La chute, d’Oliver Hierschbiegel (2004). Götterdämmerung. Il y a toujours quelque chose de fascinant dans les engloutissements, dans les naufrages qui révèlent non pas les caractères exacts (on n’est que rarement confronté à ces moments extrêmes !) mais bien une de leurs facettes les plus dissimulées : courage ou lâcheté, aveuglement …
VERDU sur Éloquence : Tanguy à la tribune,…
“Il est bon !!”