PAR PIERRE BUILLY. Vive la France ! de Michel Audiard (1974). Conte de fées et de gnomes. Ah ce qu’il peut être aigre et grinçant, le Michel Audiard, et même amer sous sa gouaille perpétuelle ! Amer que la France, la princesse de légende de Charles Péguy, le plus beau royaume qu’on eût vu sous le …
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PAR PIERRE BUILLY. L’honneur d’un capitaine de Pierre Schœndœrffer (1982). Des héros fatigués. Le parti choisi par Pierre Schœndœrffer pour présenter ce sujet encore brûlant de l’Algérie est un peu artificiel et ne m’a pas totalement convaincu : lors d’une émission qui évoque évidemment les défunts Dossiers de l’écran où, après la projection d’un film-prétexte, …
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Simplement : La réalisatrice de ce film, qui est de nos amies, a tourné un bon film intelligent. PAR PIERRE BUILLY. Le fils d’un Roi de Cheyenne Carron (2020). La place vide. Il y a dans le processus démocratique et dans son fonctionnement un absent. Dans la politique française, cet absent est la figure du …
PAR PIERRE BUILLY. Ivan le terrible de Sergueï Eisenstein (1945 et 1958) Un homme seul est en mauvaise compagnie. Il y a peu d’exemples de réalisateurs ayant tourné aussi peu qu’Eisenstein qui aient laissé dans la mémoire collective une empreinte pareillement intense, alors même que la moitié des films est de l’ère du muet et …
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PAR PIERRE BUILLY. Le hussard sur le toit de Jean-Paul Rappeneau (1995). Mortelle randonnée. Dans le supplément du DVD, la fille de Jean Giono, Sylvie, dit qu’elle a conseillé à Jean-Paul Rappeneau qu’il ne pourrait réussir son film qu’en trahissant totalement le roman, mais en conservant la hauteur des personnages ; c’est en tout cas …
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PAR PIERRE BUILLY. Welcome to New York d’Abel Ferrara (2014). Le secret derrière la porte. Indication : Le réalisateur a transposé au cinéma les mésaventures new-yorkaises de Dominique Strauss-Kahn à qui il donne le nom de Devereaux ce qui n’est pas fait pour tromper quiconque. Il y a lieu de penser que si, le 14 …
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PAR PIERRE BUILLY. Anne des mille jours de Charles Jarrott (1969). Perfide Albion Lorsque j’étais un tout petit garçon – ce qui remonte presque à avant le Déluge ! – , j’étais absolument persuadé que le modèle du terrifiant personnage de Barbe-bleue, le monstre sanguinaire du conte de Perrault était évidemment Henry VIII d’Angleterre. Comme …
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PAR PIERRE BUILLY. 1917 de Sam Mendes (2019). Service inutile. Je vais peu voir en salles les films qui font l’actualité, parce qu’ils s’envolent souvent comme fumée légère et ne laissent aucune trace. Mais toute pratique peut connaître des exceptions, à cause d’un emportement médiatique ou de l’incitation de quelqu’un en qui j’ai confiance. C’est ainsi …
PAR PIERRE BUILLY. Marie-Antoinette de Sofia Coppola (2006). Transformer une vie en destin Retrouvez la 1ère partie de cette chronique … Enfin je suis allé voir au cinéma Marie-Antoinette ; je n’en ai pas été absolument satisfait mais aucunement déçu ; de toute façon il faut toujours avoir une certaine complaisance pour un film lorsque …
Lire la suitePatrimoine cinématographique • Marie-Antoinette [2ème partie]
PAR PIERRE BUILLY. Marie-Antoinette de Sofia Coppola (2006). Transformer une vie en destin Présentation En 2006 la fille du grand Francis Ford Coppola (la trilogie du Parrain, Apocalypse now, Dracula) entreprend de réaliser un énième film consacré à la Reine Marie-Antoinette, dont le destin tragique a depuis toujours séduit les écrivains et les cinéastes. Sofia …
Lire la suitePatrimoine cinématographique • Marie-Antoinette [1ère partie]